Il est le candidat surprise des élections municipales à Marseille. Pape Diouf défiera le maire UMP sortant Jean-Claude Gaudin et le candidat socialiste Patrick Mennucci, les 23 et 30 mars prochains.
L'ancien président de l'Olympique de Marseille veut "changer la donne". Il estime au micro de RTL, qu'"un rassemblement est nécessaire, dans lequel il n'y aura pas de considération politique ou idéologique, mais plutôt la volonté de changer les choses".
Un "élan économique profitable"
L'envie de se présenter aux élections municipales de Marseille lui est venue "en lisant la démarche de beaucoup de nos concitoyens. Ils ont la volonté de ne plus rester les bras croisés, de ne plus seulement croire aux promesses", explique-t-il. "Le rassemblement m'a donc paru nécessaire".
Pape Diouf s'adresse ainsi aux abstentionnistes en les incitant à "regarder du côté du rassemblement que nous souhaitons mettre en place. On luttera ainsi contre l'anti-pauvreté et lancer un élan économique profitable".
Et quant à ceux qui mettent en cause sa candidature, l'ancien président de l'OM répond "pour se faire manger, il faut être disposé à se laisser faire". Il devrait présenter des candidats dans les 8 secteurs électoraux de Marseille. Lui-même devrait se présenter dans les 13e et 14e arrondissements de la ville pour affronter Stéphane Ravier, le candidat du Front national.
"La politique n'est pas mon dada, même si j'ai toujours été attentif à l'action publique", explique-t-il. Le nouveau candidat à la mairie de Marseille préfère se concentrer sur "l'action publique".
"Ceux qui pensent que dans la politique forcément on est dans les magouilles, je ne pense absolument pas comme ça, je suis quelqu'un simplement qui exprime une volonté collective, qui veut que les choses changent à Marseille", insiste-t-il.
Il confie avoir été reçu "courtoisement" par François Hollande. Le chef de l’État voulait comprendre "le sens donné" à la démarche de Pape Diouf. "Il n'a rien voulu modifié", précise l'ex-président du club sportif.
L'ancien président de l'Olympique de Marseille veut "changer la donne". Il estime au micro de RTL, qu'"un rassemblement est nécessaire, dans lequel il n'y aura pas de considération politique ou idéologique, mais plutôt la volonté de changer les choses".
Un "élan économique profitable"
L'envie de se présenter aux élections municipales de Marseille lui est venue "en lisant la démarche de beaucoup de nos concitoyens. Ils ont la volonté de ne plus rester les bras croisés, de ne plus seulement croire aux promesses", explique-t-il. "Le rassemblement m'a donc paru nécessaire".
Pape Diouf s'adresse ainsi aux abstentionnistes en les incitant à "regarder du côté du rassemblement que nous souhaitons mettre en place. On luttera ainsi contre l'anti-pauvreté et lancer un élan économique profitable".
Et quant à ceux qui mettent en cause sa candidature, l'ancien président de l'OM répond "pour se faire manger, il faut être disposé à se laisser faire". Il devrait présenter des candidats dans les 8 secteurs électoraux de Marseille. Lui-même devrait se présenter dans les 13e et 14e arrondissements de la ville pour affronter Stéphane Ravier, le candidat du Front national.
"La politique n'est pas mon dada, même si j'ai toujours été attentif à l'action publique", explique-t-il. Le nouveau candidat à la mairie de Marseille préfère se concentrer sur "l'action publique".
"Ceux qui pensent que dans la politique forcément on est dans les magouilles, je ne pense absolument pas comme ça, je suis quelqu'un simplement qui exprime une volonté collective, qui veut que les choses changent à Marseille", insiste-t-il.
Il confie avoir été reçu "courtoisement" par François Hollande. Le chef de l’État voulait comprendre "le sens donné" à la démarche de Pape Diouf. "Il n'a rien voulu modifié", précise l'ex-président du club sportif.








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