Moustache et sourcils fournis, « El Chapo », le « trapu » ou le « nabot » comme on le surnomme au Mexique, ne correspond pas tout à fait au profil de la « fille de l’air ». C’est pourtant le roi de l’évasion que viennent à nouveau de capturer les forces spéciales mexicaines.
Par deux fois déjà, le patron du cartel de Sinaloa – Etat du nord-ouest du pays - a pu s’échapper des établissements de haute sécurité où il avait été enfermé, et à chaque fois de manière totalement rocambolesque.
2001, le milliardaire de la drogue profite d’un chariot à linge sale pour quitter la prison de « Puente Grande », rebaptisée depuis « la porte grande ouverte ». 72 employés du centre pénitentiaire seront suspectés suite à cette évasion cousue de fil blanc.
Juillet 2015, rebelote : cette fois, « El Chapo » Guzman choisit de filer depuis les douches de la prison de « l’Altiplano », là encore une évasion sur mesure via un tunnel de 1 500 mètres, éclairé et entièrement ventilé menant jusqu’à un immeuble en construction.
Il faut dire que l’empereur mexicain de la drogue dispose de moyens colossaux et donc d’une forte puissance de corruption. Ennemi numéro un, héros pour certains, le narco qui nargue les autorités est devenu un symbole de la lutte contre les cartels, dans un pays où les activités liées à la drogue génèrent environ 50 milliards de dollars de revenus chaque année et impliqueraient jusqu’à 500 000 personnes selon Mexico.
Par deux fois déjà, le patron du cartel de Sinaloa – Etat du nord-ouest du pays - a pu s’échapper des établissements de haute sécurité où il avait été enfermé, et à chaque fois de manière totalement rocambolesque.
2001, le milliardaire de la drogue profite d’un chariot à linge sale pour quitter la prison de « Puente Grande », rebaptisée depuis « la porte grande ouverte ». 72 employés du centre pénitentiaire seront suspectés suite à cette évasion cousue de fil blanc.
Juillet 2015, rebelote : cette fois, « El Chapo » Guzman choisit de filer depuis les douches de la prison de « l’Altiplano », là encore une évasion sur mesure via un tunnel de 1 500 mètres, éclairé et entièrement ventilé menant jusqu’à un immeuble en construction.
Il faut dire que l’empereur mexicain de la drogue dispose de moyens colossaux et donc d’une forte puissance de corruption. Ennemi numéro un, héros pour certains, le narco qui nargue les autorités est devenu un symbole de la lutte contre les cartels, dans un pays où les activités liées à la drogue génèrent environ 50 milliards de dollars de revenus chaque année et impliqueraient jusqu’à 500 000 personnes selon Mexico.








Présidentielle en Guinée Bissau: Umaro Embalo remet son mandat en jeu ce dimanche 23 novembre
