Une jeune sénégalaise, handicapée mentale de 16 ans, a été victime de viol, dans la nuit de samedi à dimanche. Le présumé auteur, un mendiant formellement identifié par la victime, continue de nier. Retrouvée dans un terrain attenant à la foire de Nouakchott par ses parents, au bout d’une journée de recherche, la fille parvenait à peine à se déplacer.
Elle aurait subi des dommages pendant la matinée. En effet, c’est après que sa maman est partie au marché que la jeune fille a été invitée par un mendiant adulte, la quarantaine, qui lui avait promis on ne sait quoi. Toujours est-il que la fillette a été vue en compagnie de cet homme, marchant vers la foire de Nouakchott.
La victime qui ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales, est casanière, très polie. Interrogée, elle a confié que l’homme qui avait abusé d’elle, l’avait menacée, avec un couteau, de la tuer si jamais elle ne s’exécutait pas.
Au dispensaire d’El Mina, les sages-femmes confirmeront le viol, avec un certificat médical attestant d’une perforation de l’hymen. Avec fortes gesticulations, la jeune fille avait, en larmes, mimé tous les gestes de son bourreau.
Ce dernier sera formellement identifié par la jeune fille, qui décrivait «celui-là» qui se présentait, chaque matin, chez elle, pour demander de la charité. Interpellé, l’homme jura, par tous les saints, qu’il ne pouvait pas commettre un tel acte. Mais, la fille est restée catégorique, répétant qu’il s’agissait bien de son bourreau. Mais, le nommé Baba, profitant de l’handicap de la fille qui n’a d’autres formes d’expressions que des cris et sa gestuelle, fera dans les dénégations. Aussi, une plainte a-t-elle été déposée, en début de semaine, devant le Parquet qui devrait statuer, incessamment, sur cette affaire.
I. SOW
REWMI QUOTIDIEN
Elle aurait subi des dommages pendant la matinée. En effet, c’est après que sa maman est partie au marché que la jeune fille a été invitée par un mendiant adulte, la quarantaine, qui lui avait promis on ne sait quoi. Toujours est-il que la fillette a été vue en compagnie de cet homme, marchant vers la foire de Nouakchott.
La victime qui ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales, est casanière, très polie. Interrogée, elle a confié que l’homme qui avait abusé d’elle, l’avait menacée, avec un couteau, de la tuer si jamais elle ne s’exécutait pas.
Au dispensaire d’El Mina, les sages-femmes confirmeront le viol, avec un certificat médical attestant d’une perforation de l’hymen. Avec fortes gesticulations, la jeune fille avait, en larmes, mimé tous les gestes de son bourreau.
Ce dernier sera formellement identifié par la jeune fille, qui décrivait «celui-là» qui se présentait, chaque matin, chez elle, pour demander de la charité. Interpellé, l’homme jura, par tous les saints, qu’il ne pouvait pas commettre un tel acte. Mais, la fille est restée catégorique, répétant qu’il s’agissait bien de son bourreau. Mais, le nommé Baba, profitant de l’handicap de la fille qui n’a d’autres formes d’expressions que des cris et sa gestuelle, fera dans les dénégations. Aussi, une plainte a-t-elle été déposée, en début de semaine, devant le Parquet qui devrait statuer, incessamment, sur cette affaire.
I. SOW
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