
« Il ne faut se chercher de midi à quatorze heures. Les policiers sont démoralisés. Ils ne veulent pas user de la violence légitime prévue par les textes et se retrouver demain derrière les barreaux ou se voir trainés devant les juridictions. Le cas Harona Sy est là pour nous rappeler que nous tous, nous ne sommes pas à l’abri. Si Harona Sy, un commissaire divisionnaire peut être inquiété, qui est –ce qui va s’émouvoir de notre sort ? », soutient un policier dans l’Observateur