Le délai dépassé d'une semaine
La petite fille a été victime de viols répétés par son beau-père alors que sa mère partait travailler pendant la journée. Lorsqu'elle a révélé qu'elle attendait un enfant au bout de 5 mois, il était trop tard pour pratiquer une IVG selon la loi indienne. Au-delà de 20 semaines, les avortements ne sont pratiqués que si la vie de la mère ou de l'enfant sont en danger. La jeune fille dépassait donc le délai légal de seulement une semaine… Cette loi a été toutefois été imposée pour une noble cause : enrayer les avortements sélectifs en fonction du sexe de l'enfant à naître.
Une exception a été demandée auprès de la Cour indienne. "Nous avons saisi le tribunal compétent pour lui demander d'ordonner une IVG", a déclaré à l'AFP Pankaj Nain, chef de la police du district de Rohtak. "C'est maintenant à la justice de trancher".







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