Une enquête réalisée dans les établissements du moyen dans la région de Fatick révèle l’existence de 73 cas, soit 62,7% de grossesse précoce, a indiqué, jeudi, Ndiakhnate Guèye Mané, point focal du projet pour l’éradication des grossesses précoces en milieu scolaire (PEGMISS).
"Une enquête menée pendant les vacances de l’année académique 2014-2015 au niveau de 12 établissements du moyen de la région de Fatick a révélé 73 cas de grossesse", a-t-elle dit au cours d’un cercle thématique avec les journalistes.
Selon elle, "on note dans cette région, une prédominance
des grossesses précoces avec 62,7% de cas notés dans les établissements" ce qui témoigne de la "recrudescence" de ce phénomène.
"En 2013-2014, 37 cas de grossesse ont été enregistrés et 36 en 2014-2015 dans ces établissements enquêtés", a précisé Mme Mané par ailleurs professeur d’économie familiale et sociale au CEM Thierno Mamadou Sall (TMS).
Dans le cadre du PEGMIS cinq établissements ont été retenus
pour des activités de sensibilisation afin de faire disparaître les grossesses dans ce milieu.
Il s’agit des CEM de Niakhar (20 cas), Thierno Mamadou Sall (TMS) avec 8 cas, Ndiob (7 cas) enfin viennent Wakhaldiam et Ndoss, a signalé le point focal du projet pour l’éradication des grossesses précoces en milieu scolaire (PEGMISS).
De même, les chefs d’établissements ont été sensibilisés et les autorités saisies pour nous accompagner dans cette lutte et nous pensons dépasser ce taux de 25% fixé dans le cadre de ce projet, a estimé Mme Mané.
"Ce que nous souhaitons, c’est dans cette phase pilote
obtenir une résolution au moins 50% des cas de grossesse", a-t-elle ajouté.
"Une enquête menée pendant les vacances de l’année académique 2014-2015 au niveau de 12 établissements du moyen de la région de Fatick a révélé 73 cas de grossesse", a-t-elle dit au cours d’un cercle thématique avec les journalistes.
Selon elle, "on note dans cette région, une prédominance
des grossesses précoces avec 62,7% de cas notés dans les établissements" ce qui témoigne de la "recrudescence" de ce phénomène.
"En 2013-2014, 37 cas de grossesse ont été enregistrés et 36 en 2014-2015 dans ces établissements enquêtés", a précisé Mme Mané par ailleurs professeur d’économie familiale et sociale au CEM Thierno Mamadou Sall (TMS).
Dans le cadre du PEGMIS cinq établissements ont été retenus
pour des activités de sensibilisation afin de faire disparaître les grossesses dans ce milieu.
Il s’agit des CEM de Niakhar (20 cas), Thierno Mamadou Sall (TMS) avec 8 cas, Ndiob (7 cas) enfin viennent Wakhaldiam et Ndoss, a signalé le point focal du projet pour l’éradication des grossesses précoces en milieu scolaire (PEGMISS).
De même, les chefs d’établissements ont été sensibilisés et les autorités saisies pour nous accompagner dans cette lutte et nous pensons dépasser ce taux de 25% fixé dans le cadre de ce projet, a estimé Mme Mané.
"Ce que nous souhaitons, c’est dans cette phase pilote
obtenir une résolution au moins 50% des cas de grossesse", a-t-elle ajouté.
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