Des dorures de l'Élysée aux récents événements tragiques. Amedy Coulibaly, auteur présumé de l'attaque à Montrouge et de la prise d'otages à la Porte de Vincennes est déjà passé par la présidence de la République. D'après un article du Parisien de l'époque , c'était un 15 juillet 2009. Ce jour-là, Nicolas Sarkozy avait invité plusieurs centaines de jeunes à l'Elysée pour une conférence sur le thème de l'emploi. Amedy Coulibaly était dans la salle.
Dans les colonnes du quotidien régional, c'est un tout autre Amedy Coulibaly qui apparaît, bien loin du portrait d'un délinquant multirécidiviste qui ressurgit aujourd'hui. Le Parisien raconte qu'il travaille alors en contrat de professionnalisation à l'usine Coca-Cola de Grigny, dans l'Essonne. Avec d'autres jeunes, il se prépare à se rendre au palais de l'Elysée. «Cela me fait plaisir. Je ne sais pas ce que je vais lui dire. (à Nicolas Sarkozy, NDLR)», glisse-t-il. «Déjà, je vais commencer par ‘Bonjour!'», plaisante encore Amedy Coulibaly. «À la limite, si le président peut aider à me faire embaucher…».
«Le rencontrer en vrai, c'est impressionnant. Qu'on l'aime ou pas, c'est quand même le président», indique alors le jeune homme. «Dans les cités, auprès des jeunes, Sarkozy n'est pas vraiment très populaire. Mais cela n'a rien de personnel. En fait, c'est le cas de la majorité des politiques.»
Au Scan, Le Parisien confirme qu'il s'agit bien du même individu.
Dans les colonnes du quotidien régional, c'est un tout autre Amedy Coulibaly qui apparaît, bien loin du portrait d'un délinquant multirécidiviste qui ressurgit aujourd'hui. Le Parisien raconte qu'il travaille alors en contrat de professionnalisation à l'usine Coca-Cola de Grigny, dans l'Essonne. Avec d'autres jeunes, il se prépare à se rendre au palais de l'Elysée. «Cela me fait plaisir. Je ne sais pas ce que je vais lui dire. (à Nicolas Sarkozy, NDLR)», glisse-t-il. «Déjà, je vais commencer par ‘Bonjour!'», plaisante encore Amedy Coulibaly. «À la limite, si le président peut aider à me faire embaucher…».
«Le rencontrer en vrai, c'est impressionnant. Qu'on l'aime ou pas, c'est quand même le président», indique alors le jeune homme. «Dans les cités, auprès des jeunes, Sarkozy n'est pas vraiment très populaire. Mais cela n'a rien de personnel. En fait, c'est le cas de la majorité des politiques.»
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