Réponse du berger à la bergère. Son séjour carcéral lui est resté en travers de la gorge. Raison pour laquelle, Aby Diagne qui a humé l’aire de la liberté depuis trois jours, ne décolère pas. Elle accuse son accusatrice, la militante de l’Alliance pour la République dont elle aurait dérobé le million de francs Cfa de taupe. « Nous nous sommes connues par l’intermédiaire d’une amie qui possède une boutique de prêt à porter à Thiès (…) A chaque fois que j’y allais, mon amie me faisait savoir qu’il y a une femme (la cousine à sa coépouse) qui tenait coute que coute à me rencontrer, car elle faisait partie de mes fans. Cette histoire remonte à trois ans », raconte Aby Diagne.
Qui révèle dans un entretien avec l'Observateur lu par Setal.net que derrière ces visites que son accusatrice rendait à la gérante de la boutique, se cachait une stratégie bien réfléchie pour filer cette dernière. « Au fait, quand elle venait à la boutique pour faire la taupe pour sa cousine (la coépouse de la gérante de la boutique), elle me faisait de ces confidences. Bref, elle venait en quête d’informations qu’elle irait rapporter à l’autre qui se trouvait à Dakar. Celle à qui étaient destinées ces informations qui distribuait les marchandises qui venaient de l’extérieur faisant exprès d’envoyer les plus petites tailles au magasin de sa coépouse. Après l’autre venait les acheter ici, comme ça le prétexte lui était donné de venir côtoyer la propriétaire, voyez-vous ? », déballe-t-elle.
Ce qui faisait qu’elle a toujours pris ses distances avec celle qui sera à l’origine de son premier séjour carcéral. Mais sans compter avec son ami qui fera des pieds et des mains pour les rapprocher. « Mais nous nous sommes rapprochées puisque ma copine, la gérante du magasin, a joué les bons offices entre nous, en me disant que ce n’était pas la peine d’en faire des masse et que ça n’en valait pas la peine », s’explique-t-elle.
Qui révèle dans un entretien avec l'Observateur lu par Setal.net que derrière ces visites que son accusatrice rendait à la gérante de la boutique, se cachait une stratégie bien réfléchie pour filer cette dernière. « Au fait, quand elle venait à la boutique pour faire la taupe pour sa cousine (la coépouse de la gérante de la boutique), elle me faisait de ces confidences. Bref, elle venait en quête d’informations qu’elle irait rapporter à l’autre qui se trouvait à Dakar. Celle à qui étaient destinées ces informations qui distribuait les marchandises qui venaient de l’extérieur faisant exprès d’envoyer les plus petites tailles au magasin de sa coépouse. Après l’autre venait les acheter ici, comme ça le prétexte lui était donné de venir côtoyer la propriétaire, voyez-vous ? », déballe-t-elle.
Ce qui faisait qu’elle a toujours pris ses distances avec celle qui sera à l’origine de son premier séjour carcéral. Mais sans compter avec son ami qui fera des pieds et des mains pour les rapprocher. « Mais nous nous sommes rapprochées puisque ma copine, la gérante du magasin, a joué les bons offices entre nous, en me disant que ce n’était pas la peine d’en faire des masse et que ça n’en valait pas la peine », s’explique-t-elle.