Un tribunal fédéral des États-Unis siégeant à Minneapolis, a condamné jeudi les principaux financiers du coup d’Etat manqué du 30 décembre dernier en Gambie, Cherno Njie, et deux de ses co-accusés. Njie, un promoteur immobilier, a été condamné à un an de prison assorti d’une amende de 1000 dollars et d’une probation de trois ans de surveillance à sa sortie de prison.
Il s’agit également de Banka Manneh, un militant politique résidant à Atlanta, et d’Alhagie Barrow, un ancien militaire de nationalité américaine, tous condamnés à six mois de prison. Ils ont aussi été condamnés à trois ans de probation de surveillance au terme de leurs peines et à payer une amende de 200 dollars chacun. Le quatrième accusé, l’ancien sergent de l’armée de l’air américaine, Papa Faal, a été acquitté et libéré par le tribunal qui lui a cependant imposé une probation de trois ans de surveillance.
Les accusés ont été inculpés en vertu d’une ancienne Loi de neutralité des États-Unis d’Amérique qui interdit aux citoyens américains de mener une guerre contre un pays ami. L’affaire est relative à l’attaque lancée contre le gouvernement de la Gambie en décembre 2014 et qui a causé la mort d’une partie des attaquants présumés. Après l’échec de l’insurrection le président gambien, Yahya Jammeh, a accusé Washington de complicité dans la tentative de renverser son régime, apparemment parce que les cerveaux présumés de l’attaque étaient des Américains d’origine gambienne
Il s’agit également de Banka Manneh, un militant politique résidant à Atlanta, et d’Alhagie Barrow, un ancien militaire de nationalité américaine, tous condamnés à six mois de prison. Ils ont aussi été condamnés à trois ans de probation de surveillance au terme de leurs peines et à payer une amende de 200 dollars chacun. Le quatrième accusé, l’ancien sergent de l’armée de l’air américaine, Papa Faal, a été acquitté et libéré par le tribunal qui lui a cependant imposé une probation de trois ans de surveillance.
Les accusés ont été inculpés en vertu d’une ancienne Loi de neutralité des États-Unis d’Amérique qui interdit aux citoyens américains de mener une guerre contre un pays ami. L’affaire est relative à l’attaque lancée contre le gouvernement de la Gambie en décembre 2014 et qui a causé la mort d’une partie des attaquants présumés. Après l’échec de l’insurrection le président gambien, Yahya Jammeh, a accusé Washington de complicité dans la tentative de renverser son régime, apparemment parce que les cerveaux présumés de l’attaque étaient des Américains d’origine gambienne







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