Le gouvernement a annoncé mercredi avoir limogé 16 chefs de la police renvoyés aux termes d'un décret du ministère de l'Intérieur, figurent ceux de plusieurs grandes villes comme Ankara, Izmir (ouest), Antalya (sud) et Diyarbakir (sud-est).
Le chef adjoint de la sûreté nationale a également été limogé, précise l'agence. Le gouvernement islamo-conservateur veut épurer la police d'éléments fidèles à la confrérie religieuse du prédicateur Fethullah Gülen qui vit aux Etats-Unis.
Crise politique majeure
Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a accusé cette puissante confrérie, longtemps son alliée et très influente dans la magistrature et la police, d'avoir comploté pour le déstabiliser. Il lui reproche d'instrumentaliser une vaste enquête de corruption qui a éclaboussé son entourage et provoqué une crise politique majeure.
Depuis la première vague d'interpellations pour corruption le 17 novembre, plusieurs centaines de policiers gradés ont été renvoyés. Mardi, pas moins de 350 policiers ont été licenciés à Ankara.
Le chef adjoint de la sûreté nationale a également été limogé, précise l'agence. Le gouvernement islamo-conservateur veut épurer la police d'éléments fidèles à la confrérie religieuse du prédicateur Fethullah Gülen qui vit aux Etats-Unis.
Crise politique majeure
Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a accusé cette puissante confrérie, longtemps son alliée et très influente dans la magistrature et la police, d'avoir comploté pour le déstabiliser. Il lui reproche d'instrumentaliser une vaste enquête de corruption qui a éclaboussé son entourage et provoqué une crise politique majeure.
Depuis la première vague d'interpellations pour corruption le 17 novembre, plusieurs centaines de policiers gradés ont été renvoyés. Mardi, pas moins de 350 policiers ont été licenciés à Ankara.








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