L’Association francophone des autorités de protection des données personnelles (AFAPDP), dont le Sénégal est membre fondateur, a organisé sa 7ème Assemblée générale le 22 novembre dernier à Marrakech. Ces assises ont été l’occasion pour ces autorités d’évoquer l’affaire Snowden mais surtout d’interpeller les pouvoirs publics sur les conséquences qui pourraient découler des pratiques de collecte massive des données personnelles, indique un communiqué.
Cette conférence dont le président de la Commission des données personnelles du Sénégal, Dr Mouhamadou LO a pris part, a réuni tous les commissaires à la protection des données personnelles des pays membres de la Francophonie. Il a été fait état des récentes révélations sur la mise en place, par des services de renseignements nationaux et étrangers, de systèmes de surveillance généralisée de citoyens nationaux et étrangers, en partie alimentés par des données collectées par des organismes du secteur privé. Les commissaires à la protection des données personnelles des Etats membres de la Francophonie ont estimé qu’un équilibre doit être trouvé entre le droit des individus au respect de leur vie privée et les besoins de l’État en matière de collecte, d’utilisation et de communication de renseignements personnels dans le cadre de l’exercice de ses fonctions régaliennes.
A cet effet, les commissaires à la protection des données personnelles des Etats membres de la Francophonie sont d’avis que si les objectifs de lutte contre le terrorisme sont légitimes, ils ne sauraient justifier la mise sous surveillance systématique et massive des populations. C’est pourquoi, nous dit-on, ils ont insisté sur le fait que les gouvernements devraient faire preuve d’une plus grande transparence en ce qui concerne leurs pratiques de collecte de données à caractère personnel, en tenant compte des considérations relatives à la sécurité nationale, à la sécurité publique et aux politiques publiques, dans le but de renforcer l’obligation de rendre des comptes à l’intérieur d’une démocratie et d’assurer le plein exercice du droit fondamental à la protection des données personnelles et à la vie privée.
Selon toujours le communiqué, l’Association francophone des autorités de protection des données personnelles (AFAPDP) défend que le traitement et l’accès aux données à caractère personnel des ressortissants d'un État, par les services de renseignements nationaux et étrangers, doivent respecter les principes de la protection des données personnelles et s'inscrire dans le respect du principe de la souveraineté des États.
l’AFAPDP a recommandé aux gouvernements de soutenir l’adoption aux Nations Unies d’un instrument juridique contraignant de protection des données à caractère personnel.
Cette conférence dont le président de la Commission des données personnelles du Sénégal, Dr Mouhamadou LO a pris part, a réuni tous les commissaires à la protection des données personnelles des pays membres de la Francophonie. Il a été fait état des récentes révélations sur la mise en place, par des services de renseignements nationaux et étrangers, de systèmes de surveillance généralisée de citoyens nationaux et étrangers, en partie alimentés par des données collectées par des organismes du secteur privé. Les commissaires à la protection des données personnelles des Etats membres de la Francophonie ont estimé qu’un équilibre doit être trouvé entre le droit des individus au respect de leur vie privée et les besoins de l’État en matière de collecte, d’utilisation et de communication de renseignements personnels dans le cadre de l’exercice de ses fonctions régaliennes.
A cet effet, les commissaires à la protection des données personnelles des Etats membres de la Francophonie sont d’avis que si les objectifs de lutte contre le terrorisme sont légitimes, ils ne sauraient justifier la mise sous surveillance systématique et massive des populations. C’est pourquoi, nous dit-on, ils ont insisté sur le fait que les gouvernements devraient faire preuve d’une plus grande transparence en ce qui concerne leurs pratiques de collecte de données à caractère personnel, en tenant compte des considérations relatives à la sécurité nationale, à la sécurité publique et aux politiques publiques, dans le but de renforcer l’obligation de rendre des comptes à l’intérieur d’une démocratie et d’assurer le plein exercice du droit fondamental à la protection des données personnelles et à la vie privée.
Selon toujours le communiqué, l’Association francophone des autorités de protection des données personnelles (AFAPDP) défend que le traitement et l’accès aux données à caractère personnel des ressortissants d'un État, par les services de renseignements nationaux et étrangers, doivent respecter les principes de la protection des données personnelles et s'inscrire dans le respect du principe de la souveraineté des États.
l’AFAPDP a recommandé aux gouvernements de soutenir l’adoption aux Nations Unies d’un instrument juridique contraignant de protection des données à caractère personnel.







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