Une nouvelle structuration tarifaire des produits pétroliers est en cours de préparation, sous l’égide du ministère de tutelle, avec la participation de plusieurs acteurs du secteur. D’après "L’Observateur", repris par "Senenews", le projet de décret abrogeant et remplaçant le décret n°2014-1562 du 4 décembre 2014 qui encadrait jusqu’ici les modalités de fixation des prix des hydrocarbures raffinés – a été examiné lors d’une rencontre tenue au Building administratif Président Mamadou Dia.
En attendant l’arbitrage du ministre Birame Soulèye Diop, les sociétés pétrolières refusent, pour l’heure, de payer la redevance Crse, une charge qu’elles considèrent comme non rémunératrice.
Des déséquilibres à corriger
Le ministère du Pétrole et des Énergies a identifié plusieurs dysfonctionnements dans la chaîne de valeur des produits pétroliers. Parmi eux, une mauvaise répartition des marges, une tarification peu transparente, une insuffisance d’investissement dans les infrastructures de stockage, ainsi qu’une incohérence dans le système de subvention. Ces facteurs ont contribué à des tensions sur les prix à la pompe, affectant le pouvoir d’achat des consommateurs.
Selon "L’Observateur", l’objectif principal de la réforme est de garantir une structure tarifaire plus équitable, tout en assurant l’équilibre économique des différents maillons de la chaîne.
Les points clés de la réforme
Le projet prévoit notamment :
La révision des marges de distribution, avec une revalorisation estimée à 13 % sur les produits pétroliers blancs vendus à la pompe.
Un meilleur encadrement des conditions techniques et économiques d’exploitation.
En attendant l’arbitrage du ministre Birame Soulèye Diop, les sociétés pétrolières refusent, pour l’heure, de payer la redevance Crse, une charge qu’elles considèrent comme non rémunératrice.
Des déséquilibres à corriger
Le ministère du Pétrole et des Énergies a identifié plusieurs dysfonctionnements dans la chaîne de valeur des produits pétroliers. Parmi eux, une mauvaise répartition des marges, une tarification peu transparente, une insuffisance d’investissement dans les infrastructures de stockage, ainsi qu’une incohérence dans le système de subvention. Ces facteurs ont contribué à des tensions sur les prix à la pompe, affectant le pouvoir d’achat des consommateurs.
Selon "L’Observateur", l’objectif principal de la réforme est de garantir une structure tarifaire plus équitable, tout en assurant l’équilibre économique des différents maillons de la chaîne.
Les points clés de la réforme
Le projet prévoit notamment :
La révision des marges de distribution, avec une revalorisation estimée à 13 % sur les produits pétroliers blancs vendus à la pompe.
Un meilleur encadrement des conditions techniques et économiques d’exploitation.







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