Macky Sall me rappelle Daniel Ortega, ce dictateur élu grâce aux idées de gauche. Et qui, après son élection, a fait régner l’anarchie. Il a nommé sa femme comme vice-présidente.
C’est cette démarche qu’il a adopté qui fait qu’il ne comprend pas que la Cour de justice de la CDEAO lui a tendu la perche. C’est cet entêtement qui s’est aujourd’hui répercuté sur la décision du juge. Il faut comprendre que s’il faut résumer la situation c’est tout simplement l’histoire de cet homme majeur, doté de raison mais qui refuse de voir la lune…