Illusion ou pas l’équipe du Sénégal présente un effectif étoffé d’individualités très prisées en Europe qui fait d’elle de favori dans cette compétition.
Cela ne veut pas dire qu’on est totalement à point. Tout le monde est d’accord que cette équipe ne dispose pas d’un collectif huilé. On a eu à le constater sur plusieurs matches disputés que ça soit en éliminatoire qu’en amicale. Mais certains ne pouvaient pas voir cela comme signe de faiblesse en se limitant de croire que c’était dû à un mauvais terrain ou à un désir volontaire de cacher notre jeu.
Ce qui nous fait douter de l’expertise du coach Amara qu’on reproche de ne pas su instaurer un système de jeu adapté aux joueurs sélectionnés. On ne peut pas comprendre pourquoi adopter un système où les joueurs ne s’épanouissent pas.
On voit Moussa Sow qui joue comme excentré alors qu’en club il est toujours à la pointe de l’attaque lilloise ; donc il a l’habitude de recevoir les ballons. Mais arrivé en sélection nationale on l’impose de chercher les ballons. Alors que dans ce rôle il est en dualité avec deux autres attaquants qui sont dans le même registre. C’est ainsi qu’on note des errements au niveau de l’attaque sénégalaise dû au manque de joueurs pourvoyeurs de balles. Quand on a des excentrés comme Souleymane Camara, NDiaye Déme NDiaye et Issiar Dia on se demande quel coach a l'opiniâtreté de mettre ces derniers sur le banc quand on a des problèmes de ravitailleurs de ballons pour son attaque.
Il n’est pas dit que quand tu as des buteurs nés il faut les classer tous pour avoir une attaque de feu, non. Il faudra en utiliser un ou deux et en réserver pour les changements en deuxième période : c’est important pour gagner un match.
Et surtout avant de penser au but, il faut également réfléchir sur les hommes du milieu qui seront aptes aux récupérations et aux relances pour alimenter l’attaque de ballons. Mais tel n’est pas le cas pour coach Amara, lui pense que pour marquer un but le ballon parte de l’attaque et non de la défense ou du milieu de terrain d’où l’explication de ses différents classements inadaptés.
Une bonne attaque placée est toujours enclenchée par une bonne relance du milieu ou de la défense.
Vu les classements hasardeux du coach Amara on se pose la question à savoir est-ce que le Sénégal pourra-t-il dévoiler son jeu pour gagner sa première CAN.
Je lui conseille de regarder la vidéo du match de samedi pour adopter la tactique de Hervé Renard qui ne possède pas le meilleur buteur du championnat de France ni le deuxième canonnier actuel de la première ligue anglaise ni le meilleur joueur du championnat danois. Comme pour lui dire qu’il ne s’agit pas d’avoir de bons joueurs mais plutôt un groupe homogène où le joueur nul y est même indispensable.
Tous les entraineurs du monde rêve d’être à la tête d’une telle formation qui n’a pas encore le sélectionneur qui lui faut.
Cela ne veut pas dire qu’on est totalement à point. Tout le monde est d’accord que cette équipe ne dispose pas d’un collectif huilé. On a eu à le constater sur plusieurs matches disputés que ça soit en éliminatoire qu’en amicale. Mais certains ne pouvaient pas voir cela comme signe de faiblesse en se limitant de croire que c’était dû à un mauvais terrain ou à un désir volontaire de cacher notre jeu.
Ce qui nous fait douter de l’expertise du coach Amara qu’on reproche de ne pas su instaurer un système de jeu adapté aux joueurs sélectionnés. On ne peut pas comprendre pourquoi adopter un système où les joueurs ne s’épanouissent pas.
On voit Moussa Sow qui joue comme excentré alors qu’en club il est toujours à la pointe de l’attaque lilloise ; donc il a l’habitude de recevoir les ballons. Mais arrivé en sélection nationale on l’impose de chercher les ballons. Alors que dans ce rôle il est en dualité avec deux autres attaquants qui sont dans le même registre. C’est ainsi qu’on note des errements au niveau de l’attaque sénégalaise dû au manque de joueurs pourvoyeurs de balles. Quand on a des excentrés comme Souleymane Camara, NDiaye Déme NDiaye et Issiar Dia on se demande quel coach a l'opiniâtreté de mettre ces derniers sur le banc quand on a des problèmes de ravitailleurs de ballons pour son attaque.
Il n’est pas dit que quand tu as des buteurs nés il faut les classer tous pour avoir une attaque de feu, non. Il faudra en utiliser un ou deux et en réserver pour les changements en deuxième période : c’est important pour gagner un match.
Et surtout avant de penser au but, il faut également réfléchir sur les hommes du milieu qui seront aptes aux récupérations et aux relances pour alimenter l’attaque de ballons. Mais tel n’est pas le cas pour coach Amara, lui pense que pour marquer un but le ballon parte de l’attaque et non de la défense ou du milieu de terrain d’où l’explication de ses différents classements inadaptés.
Une bonne attaque placée est toujours enclenchée par une bonne relance du milieu ou de la défense.
Vu les classements hasardeux du coach Amara on se pose la question à savoir est-ce que le Sénégal pourra-t-il dévoiler son jeu pour gagner sa première CAN.
Je lui conseille de regarder la vidéo du match de samedi pour adopter la tactique de Hervé Renard qui ne possède pas le meilleur buteur du championnat de France ni le deuxième canonnier actuel de la première ligue anglaise ni le meilleur joueur du championnat danois. Comme pour lui dire qu’il ne s’agit pas d’avoir de bons joueurs mais plutôt un groupe homogène où le joueur nul y est même indispensable.
Tous les entraineurs du monde rêve d’être à la tête d’une telle formation qui n’a pas encore le sélectionneur qui lui faut.
Un international sénégalais suspendu 4 ans pour dopage (photo)
