Il ne marquera pas trois buts à chaque fois. Auteur d’un triplé pour ses grands débuts sous le maillot des U17 du PSG lors d’un déplacement à Boulogne-sur-Mer une semaine plus tôt (0-4), Timothy Weah est resté muet dimanche lors de la victoire face à Wasquehal (4-1).
Sous les yeux de son père George, qui avait fait le déplacement au Camp des Loges, le natif de New York rend fier son prestigieux paternel, légendaire joueur parisien des années 90. Qui distille de précieux conseils à son rejeton. "Il est rapide, il a le sens du but et du jeu. Il est aussi très respectueux des consignes de son coach. Être collectif, c’est essentiel pour le futur. Je ne dis pas ça parce que c’est mon fils, mais il a vraiment des qualités", estime le Libérien dans les colonnes du Parisien.
Le jeune attaquant (15 ans) vit lui un rêve éveillé: "Voir Zlatan, Lucas, David Luiz, c’est magnifique… J’espère qu’un jour, moi aussi, je jouerai dans cette belle équipe. Mais je sais que le chemin est encore très long." Interdit de jouer par la Fifa pendant de longs mois, celui que ses formateurs annoncent comme un "phénomène" peut enfin s’exprimer sous les couleurs parisiennes. En espérant marcher sur les traces de «Mister George», auteur de 55 buts en 138 matches avec le PSG entre 1992 et 1995.
Sous les yeux de son père George, qui avait fait le déplacement au Camp des Loges, le natif de New York rend fier son prestigieux paternel, légendaire joueur parisien des années 90. Qui distille de précieux conseils à son rejeton. "Il est rapide, il a le sens du but et du jeu. Il est aussi très respectueux des consignes de son coach. Être collectif, c’est essentiel pour le futur. Je ne dis pas ça parce que c’est mon fils, mais il a vraiment des qualités", estime le Libérien dans les colonnes du Parisien.
Le jeune attaquant (15 ans) vit lui un rêve éveillé: "Voir Zlatan, Lucas, David Luiz, c’est magnifique… J’espère qu’un jour, moi aussi, je jouerai dans cette belle équipe. Mais je sais que le chemin est encore très long." Interdit de jouer par la Fifa pendant de longs mois, celui que ses formateurs annoncent comme un "phénomène" peut enfin s’exprimer sous les couleurs parisiennes. En espérant marcher sur les traces de «Mister George», auteur de 55 buts en 138 matches avec le PSG entre 1992 et 1995.
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