Aurait-on tordu la main au Président de la Fédération sénégalaise de football (Fsf), Me Augustin Senghor, pour qu’il accepte la candidature de Bruno Metsu ? En tout cas, le 4ème vice-président de l’instance fédérale, Amadou Kane, a confié à Sud Quotidien que le challenger de Pierre Lechantre, pour la succession d’Amara Traoré à la tête des «Lions», n’avait pas déposé sa candidature.
Très remonté contre l’information parue dans plusieurs sites internet qui affirment que Bruno Metsu a été choisi avant même la réunion du comité d’urgence prévue après-demain vendredi, le président de l’Organisation nationale de coordination des activités de vacances (Oncav), déclare : «C’est faux ! D’ailleurs, je vais même vous faire une révélation : Metsu n’a même pas déposé sa candidature. Lui-même, l’a déclaré dans la presse».
Questions : Bruno Metsu serait-il alors forclos ? Si oui, pourquoi, le président de la Fsf a-t-il déclaré dans une interview publiée dans le site de l’instance fédérale, que l’ancien coach des «Lions» et Pierre Lechantre seraient en pole position pour la succession de «Mamar» ?
Une chose est au moins sûre et certaine. Lobbies et pressions se multiplient depuis plusieurs jours pour ramener Bruno Metsu aux commandes de l’équipe nationale qu’il avait pourtant abandonné pour les pétrodollars du Golfe.
Le plus curieux, c’est l’immixtion de l’actuel ministre des Sports, El Hadji Maclik Gackou dans le dossier. Dans ses différentes sorties dans les médias, l’ancien vice-président de la Fsf dresse le portrait robot du futur sélectionneur dont les traits caractéristiques renvoient à son «ami», Bruno Metsu.
Tout en prenant le soin de rappeler que le choix d’un sélectionneur est du domaine exclusif de la Fsf, le nouveau ministre ne se prive pas un seul instant de poser des actes contradictoires.
La dernière en date, c’est sa déclaration dans Walf Sports, après que Metsu a indiqué au quotidien Stades qu’il est prêt à coacher les «Lions», même avec un salaire de moins de 10 millions, là où son challenger, Pierre Lechantre solliciterait plus de 15 millions par mois.
«L’Etat n’est pas prêt à mettre des sommes faramineuses. Car la situation actuelle du pays ne le permet pas (sic). Il faut être conséquent dans ce dossier. L’Etat est prêt à accompagner le football, mais dans les possibilités de ses moyens», avertit-il.
Puis, il enfonce le clou : «ce que je puis dire est que l’Etat est prêt à payer un entraîneur moins que les coaches étrangers qui sont passés à la tête des Lions.»
Ce que indique clairement que le ministre des Sports plaide pour son «ami» qui cherche à se relancer après son licenciement, le 15 mars dernier à la tête de d’Al-Gharafa (Qatar).
Mais, la balle reste dans le camp du comité exécutif, seule instance habilitée à choisir un sélectionneur national même si, l’Etat sera encore l’autre tiers payant du contrat.
Très remonté contre l’information parue dans plusieurs sites internet qui affirment que Bruno Metsu a été choisi avant même la réunion du comité d’urgence prévue après-demain vendredi, le président de l’Organisation nationale de coordination des activités de vacances (Oncav), déclare : «C’est faux ! D’ailleurs, je vais même vous faire une révélation : Metsu n’a même pas déposé sa candidature. Lui-même, l’a déclaré dans la presse».
Questions : Bruno Metsu serait-il alors forclos ? Si oui, pourquoi, le président de la Fsf a-t-il déclaré dans une interview publiée dans le site de l’instance fédérale, que l’ancien coach des «Lions» et Pierre Lechantre seraient en pole position pour la succession de «Mamar» ?
Une chose est au moins sûre et certaine. Lobbies et pressions se multiplient depuis plusieurs jours pour ramener Bruno Metsu aux commandes de l’équipe nationale qu’il avait pourtant abandonné pour les pétrodollars du Golfe.
Le plus curieux, c’est l’immixtion de l’actuel ministre des Sports, El Hadji Maclik Gackou dans le dossier. Dans ses différentes sorties dans les médias, l’ancien vice-président de la Fsf dresse le portrait robot du futur sélectionneur dont les traits caractéristiques renvoient à son «ami», Bruno Metsu.
Tout en prenant le soin de rappeler que le choix d’un sélectionneur est du domaine exclusif de la Fsf, le nouveau ministre ne se prive pas un seul instant de poser des actes contradictoires.
La dernière en date, c’est sa déclaration dans Walf Sports, après que Metsu a indiqué au quotidien Stades qu’il est prêt à coacher les «Lions», même avec un salaire de moins de 10 millions, là où son challenger, Pierre Lechantre solliciterait plus de 15 millions par mois.
«L’Etat n’est pas prêt à mettre des sommes faramineuses. Car la situation actuelle du pays ne le permet pas (sic). Il faut être conséquent dans ce dossier. L’Etat est prêt à accompagner le football, mais dans les possibilités de ses moyens», avertit-il.
Puis, il enfonce le clou : «ce que je puis dire est que l’Etat est prêt à payer un entraîneur moins que les coaches étrangers qui sont passés à la tête des Lions.»
Ce que indique clairement que le ministre des Sports plaide pour son «ami» qui cherche à se relancer après son licenciement, le 15 mars dernier à la tête de d’Al-Gharafa (Qatar).
Mais, la balle reste dans le camp du comité exécutif, seule instance habilitée à choisir un sélectionneur national même si, l’Etat sera encore l’autre tiers payant du contrat.
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