Le procès tant attendu, en tout cas pour le commissaire Harona Sy a finalement été renvoyé au 27 décembre, a-t-on lu au journal l’As. Très tôt dans la matinée et comme prévu, les deux parties se sont rendues devant le juge. Mais au cours de la mise en état des dossiers, seule une seule personne concernée par la plainte de l’ex commissaire central, en l’occurrence Seydi Gassama d’amnistie international était présente.
Quant à Alioune Tine Secrétaire général de la Radhho, il a brillé de par son absence. Selon notre source, l’avocat de la défense, Me Moustapha Tine lui aussi absent, s’est fait représenter pour demander le renvoi de l’affaire afin de mieux s’imprégner du dossier. Mais il n’est pas le seul conseil à s’absenter car celui de l’ex commissaire, Boubacar Cissé est aussi hors du pays.
Autant de raisons donc pour renvoyer le dossier qui s’annonce palpitante. Il faut rappeler que ces défenseurs des droits de l’homme ont obtenu la tête du commissaire, auprès de Ban ki Moon, alors qu’il venait juste de réussir à un test des Nations-Unies qui le charge à la restructuration des forces de police du Soudan. Et pour cause, les manifestations mortelles préélectorales dont il(Sy) qu’il a géré.
Quant à Alioune Tine Secrétaire général de la Radhho, il a brillé de par son absence. Selon notre source, l’avocat de la défense, Me Moustapha Tine lui aussi absent, s’est fait représenter pour demander le renvoi de l’affaire afin de mieux s’imprégner du dossier. Mais il n’est pas le seul conseil à s’absenter car celui de l’ex commissaire, Boubacar Cissé est aussi hors du pays.
Autant de raisons donc pour renvoyer le dossier qui s’annonce palpitante. Il faut rappeler que ces défenseurs des droits de l’homme ont obtenu la tête du commissaire, auprès de Ban ki Moon, alors qu’il venait juste de réussir à un test des Nations-Unies qui le charge à la restructuration des forces de police du Soudan. Et pour cause, les manifestations mortelles préélectorales dont il(Sy) qu’il a géré.