Les hommes sénégalais doivent inciter leurs épouses enceintes de faire le test du VIH lors des consultations prénatales en vue de l'élimination de la transmission mère-enfant (éTME), a indiqué, mardi à Dakar, Abdoulaye Sidibé Wade, chef de la Division de lutte contre le Sida et les infections sexuellement transmissibles (DLSI). "A l'horizon 2015, plus aucun enfant ne doit naître avec le virus du Sida", a-t-il indiqué lors d'un atelier de partage organisé à l'intention des journalistes, dans le but d'échanger sur les grands enjeux de l'éTME du VIH/Sida.
Selon Abdoulaye Sidibé Wade, malgré toutes les performances acquises dans la réponse au VIH/Sida, il y a encore des femmes séropositives qui accouchent en transmettant le virus à leur enfant. "Cela appelle à une meilleure prise de conscience afin que ce gap soit comblé", a-t-il dit.
"Les médias sont le moyen le plus efficace pour inciter à une prise de conscience chez les hommes pour pousser leurs femmes enceintes à se faire dépister du virus lors de la première consultation prénatale, afin de prévenir la transmission de la mère à l'enfant", a dit le chef de la DLSI.
Selon lui, la communauté internationale et les gouvernements sont déjà mobilisés pour l'élimination de la transmission mère-enfant (eTME) du VIH d'ici à 2015, date arrêtée pour l'évaluation de la mise en œuvre des Objectifs du millénaire pour le développement.
Le docteur Wade a confié que des engagements importants ont été pris dans ce sens par le Sénégal qui, à l'instar de la communauté internationale, a lancé son plan éTME depuis le premier décembre 2012, dans la zone sud du pays (Ziguinchor, Kolda et Sédhiou).
"Nous ne comprenons pas qu'un homme refuse à sa femme de faire le dépistage du VIH/Sida, qui est le seul moyen de prévenir contre une éventuelle contamination de son enfant", a relevé Abdoulaye Sidibé Wade, soulignant que "c'est aberrant" d'arriver à un tel constat.
Selon Abdoulaye Sidibé Wade, malgré toutes les performances acquises dans la réponse au VIH/Sida, il y a encore des femmes séropositives qui accouchent en transmettant le virus à leur enfant. "Cela appelle à une meilleure prise de conscience afin que ce gap soit comblé", a-t-il dit.
"Les médias sont le moyen le plus efficace pour inciter à une prise de conscience chez les hommes pour pousser leurs femmes enceintes à se faire dépister du virus lors de la première consultation prénatale, afin de prévenir la transmission de la mère à l'enfant", a dit le chef de la DLSI.
Selon lui, la communauté internationale et les gouvernements sont déjà mobilisés pour l'élimination de la transmission mère-enfant (eTME) du VIH d'ici à 2015, date arrêtée pour l'évaluation de la mise en œuvre des Objectifs du millénaire pour le développement.
Le docteur Wade a confié que des engagements importants ont été pris dans ce sens par le Sénégal qui, à l'instar de la communauté internationale, a lancé son plan éTME depuis le premier décembre 2012, dans la zone sud du pays (Ziguinchor, Kolda et Sédhiou).
"Nous ne comprenons pas qu'un homme refuse à sa femme de faire le dépistage du VIH/Sida, qui est le seul moyen de prévenir contre une éventuelle contamination de son enfant", a relevé Abdoulaye Sidibé Wade, soulignant que "c'est aberrant" d'arriver à un tel constat.
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