La Refondation Institutionnelle de la Nation Sénégalaise

Les populations dans leur ensemble croisent que le moment de la transparence et la responsabilité doit se fortifier grâce à des députés ayant de meilleures relations avec le retour de nos valeurs permettent d’entretenir avec ses citoyens, un gouvernement se construit sur le respect de la déontologie et des suggestions de parlementaires, Institutionnelles ou Universitaires qui veillent sur les baromètres du devenir à juste tire de notre système politique.

Mais cela reste nos politicards chevronnés veulent nous préparer aux destins sablés, ces destins se passent par l’envie du perchoir voulu, alors nous demandons malgré la parole donnée du Leader vaincu des élections de convier la gestion de cette Haute Institution à un Homme d’état porteur de valeurs nobles pour notre pays émergent ;

Cette abstention record dans le Sénégal, mérite d’autres réponses de nos multiples questions qui lui (Citoyens abstentionnistes) sont posées, les futurs locataires de cette Haute Institution n’ont plus de choix, ils ont l’obligatoire d’apporter une analyse cohérent sur l’abstention des votes, qui élabore une nouvelle approche politique dans des schémas directifs;

Des schémas directifs sont tirés de cet enseignement électoraliste de voir des Députés d’une majorité mécanique, L’enseignement nous pose à ouvrir le débat (sur la suppression des listes nationales et propositionnelles ou le couplage des élections législatives et présidentielles) se cadre dans une volonté citoyenne d’avoir des Législatives plus que locales, ou doit s’associer un schéma de politiques locales (des députés élus localement dans leur communauté rurale, ville) ;

Les enjeux de cette nouvelle Assemblée sont très importants et identifiables, ils se traduisent par la refondation étatique, de cela l’administration publique mérite des réformes sur certaine inefficacité dans la gestion des cités ou institutions publiques, l’absence de Modèle d’Autorité Territorial choisi (Chef de Quartier) d’époque coloniale ou la Manque d’infrastructures en zones urbaines font parties des éléments fondamentaux de l’abstention des électeurs,

Les Sénégalais attendent de nos députés avec ce future Assemblée de fortes propositions de loi au gouvernement allant dans le sens d’une nouvelle Politique Intérieure, les sénégalais misent avantage sur la réorganisation de l’Administration publique ainsi que le renforcement de notre institution Territoriale sont inscrits dans un Plan de Stratégies Intérieures le « PSI» en quelques niveaux :

1. Aménagement Institutionnel
2. Refondation de la Régionalisation

1. Aménagement Institutionnel:
Au Sénégal nous sommes dans un régime démocratique et le pays ayant l’une des meilleures histoires politiques en Afrique, Cela nous dompte d’avoir souvent élections stables malgré les différents régimes successifs dans une longue durée de vie intéressante; Nos leaders politiques oublient que la naissance de cette démocratie est ancienne et enracinée.

Ou cela demeure notre patrimoine ancestrale ou de nos empires fondatrices accompagnée par des personnalités patriotiques qui n’avaient pas d’idées opportunités ni partisanes ou personnelles, mais les leaders épousant les faits de la colonisation nous ont donnée la naissance à un système ou davantage une nation posée sur une fondation fragile et sans âme, nos Institutions traversent des crises graves que les politiques n’ont pas résolues ;

Et les citoyens sénégalais, patriotes veulent se redéfinir dans un état de refondation basant sur un Système Institutionnel avec ses valeurs fondamentales et traditionnelles ; Nos hommes politiques doivent rendre compte aux Gardiens de nos institutions, et les citoyens travaillent à garantir leurs droits et pour que rendre visible la démocratie Au Sénégal, le boycott de cette Législative nous pousse à rebâtir notre Nation plus fédéraliste, plus local en tenant compte de nos réalités de quartiers de villes ou de communes ;

Oui nous devons inspirer du modèle de démocratique que nos ancêtres nous a laissé, nous proposons la réduction des postes Ministères et parlementaires, pour rendre la gestion des institutions transparentes et pragmatiques ; De cela nous proposons un schéma ainsi :


2. REFONDATION DE LA REGIONALISATION:
Avons-nous, le courage de dire STOP à cette guerre, savons que cette régionalisation basé sur le morcèlement d’autant de régions n’a jamais fonctionne pas, car l’ETAT n’a toujours pas mis de moyens peu import le régime concerné par ses ambitions et nous devons proposer le provincialisation avec plus d’autonomie des régions cela va vers la résolution des conflits demeurent aux fonds du Pays ;

La Nouvelle Assemblée Nationale doit facilite à l’Etat, la refondation de cette Régionalisation et de proposer une nouvelle approche, de notre part nous proposons de refonder la régionalisation en provincialisation ; Et tenant compte des identités riches en définissant le pays en provinces et le renforcement des pouvoirs des délégués de Quartiers en créant des Délégations de Quartiers ayant de gestion économique et sécuritaire en dehors de leur pouvoir actuel d’administration

Le pays étant jeune a traversé des courants troublants sur le point politique et évolutif, il est temps de repenser aux fondations de l’Etat et la nation sénégalaise. Nous prédéfinissons une démarche d’Etat Province permettant de repenser nos architectures ancestrales et modernes. Vu les problématiques de gestions étatiques et l’échec programmé de la décentralisation au niveau des Régions, l’avenir pourrait être meilleur en économie;

Cet avenir institutionnel peut dompter nos problématiques liées aux réalités d’une commune difficile. Ces réalités déstabilisent la croissance actuelle du pays. Donc la provincialisation du pays en partenariat avec la Gambie apporte une compétitivité et une explosion de la croissance sous régionale et dans la Sénégambie,

Cette nouvelle politique doit se définir sur les bases fédérales et sociales par la composition en Provinces Autonomes. Ces provinces seront gérées par une Assemblée élué localement, dirigé par un gouverneur (Diaraf) qui est lui aussi élu localement, ce qui nous permet de renforcer la gestion administration des provinces et de réduire les dépenses dans les collectivités locales.

Djiby Bocar Bathily