Le responsable de l’Apr à Touba et Mbacké est jaloux de sa base politique. Il n’est pas près de revivre les coups bas que lui assénaient ses ex-frères libéraux. Ainsi, en guise d’avertissement, Moustapha Cissé Lô a préféré faire tonner contre Mor Ngom, tout en ayant en ligne de mire les prochaines élections locales de 2014.
Se sentant court-circuité dans son fief, Moustapha Cissé Lô fait usage de coups de bélier et réaffirme sa souveraineté. La victime a été son camarade de parti, par ailleurs directeur de Cabinet du président de la République, Mor Ngom. A en croire certains observateurs de la scène politique du Baol, l’avenir promet le pire. En effet, au-delà des soucis de positionnement autour de Macky Sall, le contrôle de la région de Diourbel et de Touba en particulier, est devenu l’enjeu fondamental surtout depuis l’arrivée de l’Apr au pouvoir. L’ancien ministre des Transports et des Infrastructures veut politiquement «grandir» dans le bastion de Moustapha Cissé Lô. Ce dernier est le premier responsable du parti au niveau de Touba et Mbacké.
Jaloux de son territoire politique, le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale sort ses griffes. Le rôle d’interlocuteur légitime des dignitaires mourides de la région en est également une des raisons de son offensive médiatique. D’ailleurs, dans sa sortie fracassante, Cissé Lô délimite une zone de non-droit pour son compatriote Baol-Baol. Il renvoie Mor Ngom dans son Bambey natal à tort et à raison. Dans la ville de Aïda Mbodj et environs, le directeur de Cabinet de Macky Sall a du grain à moudre face à d’autres adversaires comme Pape Diouf (Rewmi). Sans oublier le frère «républicain» de Aïda Mbodj, Pape Mbodj, élu député aux dernières Législatives.
Par ailleurs, Moustapha Cissé Lô se réaffirme surtout en perspective des élections locales de 2014. Tout laisse croire qu’il compte reconquérir la tête du Conseil régional de Diourbel de laquelle il avait été destitué par le régime libéral. Pour s’assurer de son retour, l’homme ne cesse d’appeler à la mort de la Coalition Bennoo bokk yaakaar (Bby) dans laquelle les multiples appétits des alliés risquent d’avoir raison sur les ambitions locales de l’Apr et de ses militants. Dans la foulée des coups perdus, le député pose un problème sérieux en interpellant le Président Macky Sall sur l’urgence de la restructuration du parti. Chaque jour qui passe, l’Apr se déstructure. Une situation inquiétante pour un parti si jeune, de surcroît qui n’a pas encore passé une année au pouvoir. Sans compter la mise au frigo de hauts responsables «apéristes» comme Mbaye Ndiaye, rétrogradé ministre d’Etat sans portefeuille et Alioune Badara Cissé, mis hors des affaires intérieures de l’Etat. Et peut-être, qui s’est lui-même écarté des affaires du parti, au point de fréquenter Pape Diop et Cie. Moustapha Cissé Lô a été envoyé en premier à la guillotine politique pour ses ambitions trop amples, condamné à être remorqué par l’autre Moustapha -Niasse- qu’il disputait le Perchoir. En attendant, Macky Sall semble insister pour que «sa» patrie» ne s’accommode pas du parti-Etat
Se sentant court-circuité dans son fief, Moustapha Cissé Lô fait usage de coups de bélier et réaffirme sa souveraineté. La victime a été son camarade de parti, par ailleurs directeur de Cabinet du président de la République, Mor Ngom. A en croire certains observateurs de la scène politique du Baol, l’avenir promet le pire. En effet, au-delà des soucis de positionnement autour de Macky Sall, le contrôle de la région de Diourbel et de Touba en particulier, est devenu l’enjeu fondamental surtout depuis l’arrivée de l’Apr au pouvoir. L’ancien ministre des Transports et des Infrastructures veut politiquement «grandir» dans le bastion de Moustapha Cissé Lô. Ce dernier est le premier responsable du parti au niveau de Touba et Mbacké.
Jaloux de son territoire politique, le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale sort ses griffes. Le rôle d’interlocuteur légitime des dignitaires mourides de la région en est également une des raisons de son offensive médiatique. D’ailleurs, dans sa sortie fracassante, Cissé Lô délimite une zone de non-droit pour son compatriote Baol-Baol. Il renvoie Mor Ngom dans son Bambey natal à tort et à raison. Dans la ville de Aïda Mbodj et environs, le directeur de Cabinet de Macky Sall a du grain à moudre face à d’autres adversaires comme Pape Diouf (Rewmi). Sans oublier le frère «républicain» de Aïda Mbodj, Pape Mbodj, élu député aux dernières Législatives.
Par ailleurs, Moustapha Cissé Lô se réaffirme surtout en perspective des élections locales de 2014. Tout laisse croire qu’il compte reconquérir la tête du Conseil régional de Diourbel de laquelle il avait été destitué par le régime libéral. Pour s’assurer de son retour, l’homme ne cesse d’appeler à la mort de la Coalition Bennoo bokk yaakaar (Bby) dans laquelle les multiples appétits des alliés risquent d’avoir raison sur les ambitions locales de l’Apr et de ses militants. Dans la foulée des coups perdus, le député pose un problème sérieux en interpellant le Président Macky Sall sur l’urgence de la restructuration du parti. Chaque jour qui passe, l’Apr se déstructure. Une situation inquiétante pour un parti si jeune, de surcroît qui n’a pas encore passé une année au pouvoir. Sans compter la mise au frigo de hauts responsables «apéristes» comme Mbaye Ndiaye, rétrogradé ministre d’Etat sans portefeuille et Alioune Badara Cissé, mis hors des affaires intérieures de l’Etat. Et peut-être, qui s’est lui-même écarté des affaires du parti, au point de fréquenter Pape Diop et Cie. Moustapha Cissé Lô a été envoyé en premier à la guillotine politique pour ses ambitions trop amples, condamné à être remorqué par l’autre Moustapha -Niasse- qu’il disputait le Perchoir. En attendant, Macky Sall semble insister pour que «sa» patrie» ne s’accommode pas du parti-Etat
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