C’est à croire que Yaya Jammeh se fait de plus d’adversaires et d’ennemis près à en découdre avec lui par tous les moyens. Ce dimanche matin, le siège de son parti, « Alliance for Patriotic Reorientation and Construction » (APRC), qui occupe les locaux de l’ancienne ambassade de Taïwan, dans le quartier de Kanifing, à Banjul, a été ravagé par un incendie. Un incendie sans doute criminel, si l’on sait que le policier en faction sur les lieux au moment des faits, a été tabassé, blessé ligoté et abandonné tout nu.
Depuis le déclenchement de l’incendie, c’est le branle-bas chez les forces de sécurité gambiennes, qui ont envahi les lieux. Mais pour le moment, aucune arrestation n’a été faite, souligne nos confrères de freedomnewpaper. Le journal de noter que les enquêteurs sont occupés à essayer de reconstituer les faits et trouver des indices pouvant mener aux incendiaires et à leurs commanditaires.
Ce qui est inquiétant dans cet incendie criminel, c’est qu’il n’est pas le premier du genre. En effet, il y a une quinzaine de jours, une station-service à Bakau, et un dépôt de Gaz à Abuko, qui appartiendraient à Yaya jammeh, ont également été incendiés.
Ces attaques n’ont pas été revendiquées et les responsables qui ont bien réussi leurs coups, courent toujours. Freedomnewspaper qui cite des analystes de la sécurité nationale gambienne, souligne que ces « incendies criminels coordonnés », sont des « signes d’activités organisées, de rébellion et d’insurrection ».
Depuis le déclenchement de l’incendie, c’est le branle-bas chez les forces de sécurité gambiennes, qui ont envahi les lieux. Mais pour le moment, aucune arrestation n’a été faite, souligne nos confrères de freedomnewpaper. Le journal de noter que les enquêteurs sont occupés à essayer de reconstituer les faits et trouver des indices pouvant mener aux incendiaires et à leurs commanditaires.
Ce qui est inquiétant dans cet incendie criminel, c’est qu’il n’est pas le premier du genre. En effet, il y a une quinzaine de jours, une station-service à Bakau, et un dépôt de Gaz à Abuko, qui appartiendraient à Yaya jammeh, ont également été incendiés.
Ces attaques n’ont pas été revendiquées et les responsables qui ont bien réussi leurs coups, courent toujours. Freedomnewspaper qui cite des analystes de la sécurité nationale gambienne, souligne que ces « incendies criminels coordonnés », sont des « signes d’activités organisées, de rébellion et d’insurrection ».
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