Partira, partira pas. Ces phrases ont durant plusieurs mois animés les chaumières à Kolda tellement que ce fut difficile d’arbitrer le duel que se sont livrés les responsables de l’APR dans cette contrée.
Comme le disait Camus : « « La lutte elle-même vers les sommets, suffit à remplir un cœur d’homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux » ».
Cette boutade El’hadji Mamadou Diao Directeur des services régionaux des impôts et domaines l’a fait sienne et a lancé sa coalition pour concourir au suffrage de l’électorat du Fouladou.
La bataille s’annonce âpre et rude mais faudra aussi compter sur la grande détermination de Mamboye pour apporter la réplique à l’aune des ambitions du Président Macky Sall d’avoir à gérer les collectivités locales afin d’asseoir définitivement sa politique basée sur le PSE et corollaires.
Et pour se faire, la meilleure manière de rassurer Macky Sall est de se battre pour lui donner tous les gages d’un succès à l’horizon 2017.
Ceci, en réponse à ceux qui l’annoncent démissionnaire de l’APR.
« « Je suis plus que jamais décidé à y aller d’autant que je suis dans un groupe qui compte en sus des alliés du Benno Siggil Sénégaal que sont ( l’AFP, le PIT, le RND, le BDS, la RTAS, Yonnu Askan wi et le mouvement Tekki ), de AJ’PADS authentique, du PS animé par Ibrahima Diallo Mitterand président du comité de relance et de Boubacar Baldé Sarkozy membre de la commission centrale du même parti, de la CPJE/ Nay leer classée 4éme dans la commune aux législatives de 2012 et de vastes mouvements reconnus de tous que sont celui de Youssouf Kandé ( Yiddi Kolda), de la convention régionale des jeunes de Abdoulaye Cissé, et des couches de la société civile notamment les marchands et tant d’autres corporations » ».
Non sans préciser que les pionniers de l’APR sont aussi parties intégrantes de sa coalition. L’honorable conseil économique social et environnemental Mor Ndiaye, Abdoulaye Ndiaye, Coumba Cissé, Diang Barry et Malado Diallo qui a d’ailleurs coordonner toutes les élections de l’Apr depuis la présidentielle en passant par les législatives.
C’est la preuve que la légitimité se trouve de notre côté et les élections serviront de baromètre avertit-il. Le reste n’est qu’un prosélytisme de mauvais aloi.
Comme le disait Camus : « « La lutte elle-même vers les sommets, suffit à remplir un cœur d’homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux » ».
Cette boutade El’hadji Mamadou Diao Directeur des services régionaux des impôts et domaines l’a fait sienne et a lancé sa coalition pour concourir au suffrage de l’électorat du Fouladou.
La bataille s’annonce âpre et rude mais faudra aussi compter sur la grande détermination de Mamboye pour apporter la réplique à l’aune des ambitions du Président Macky Sall d’avoir à gérer les collectivités locales afin d’asseoir définitivement sa politique basée sur le PSE et corollaires.
Et pour se faire, la meilleure manière de rassurer Macky Sall est de se battre pour lui donner tous les gages d’un succès à l’horizon 2017.
Ceci, en réponse à ceux qui l’annoncent démissionnaire de l’APR.
« « Je suis plus que jamais décidé à y aller d’autant que je suis dans un groupe qui compte en sus des alliés du Benno Siggil Sénégaal que sont ( l’AFP, le PIT, le RND, le BDS, la RTAS, Yonnu Askan wi et le mouvement Tekki ), de AJ’PADS authentique, du PS animé par Ibrahima Diallo Mitterand président du comité de relance et de Boubacar Baldé Sarkozy membre de la commission centrale du même parti, de la CPJE/ Nay leer classée 4éme dans la commune aux législatives de 2012 et de vastes mouvements reconnus de tous que sont celui de Youssouf Kandé ( Yiddi Kolda), de la convention régionale des jeunes de Abdoulaye Cissé, et des couches de la société civile notamment les marchands et tant d’autres corporations » ».
Non sans préciser que les pionniers de l’APR sont aussi parties intégrantes de sa coalition. L’honorable conseil économique social et environnemental Mor Ndiaye, Abdoulaye Ndiaye, Coumba Cissé, Diang Barry et Malado Diallo qui a d’ailleurs coordonner toutes les élections de l’Apr depuis la présidentielle en passant par les législatives.
C’est la preuve que la légitimité se trouve de notre côté et les élections serviront de baromètre avertit-il. Le reste n’est qu’un prosélytisme de mauvais aloi.
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