En réunion d’évaluation tenue hier samedi 30 Août 2014 par le responsable de Rewmi/Grand Yoff, Moussa Fall a indiqué que quoique difficile, mais il fallait oser battre campagne contre deux (2) institutions de la République que sont l’ex premier ministre Mimi Touré et le maire de Dakar Khalifa Sall.
D’après le communiqué, classé quatrième (4ème) à l’issue des élections locales, le parti Rewmi avec à sa tête le responsable local de Grand Yoff s’est engagé dans une perspective de remobilisation des troupes et de massification des bases du parti pour préparer l’élection d’Idrissa Seck en 2017 à la magistrature suprême, si le référendum annoncé par Macky Sall limite le mandat présidentiel en cours à un quinquennat.
Sur le plan politique national, Moussa Fall a regretté ce recul démocratique dans lequel s’est inscrit Macky Sall et son régime depuis le 25 Mars 2012.
« En effet, il estime que dans un pays dit démocratique l’article 80 souvent brandi contre des adversaires politiques pour de supposés délits appelés offense au chef de l’Etat, cette disposition fourre-tout de la loi n’a pas sa place dans notre constitution », note le communiqué.
Parlant de la récente sortie de Macky Sall à l’encontre de la presse, le leader de Rewmi s’est fait l’avocat des préposés aux revues de presse. Pour M. Fall une telle diatribe démontre encore une fois que le pouvoir central est entrain de voler très bas.
Selon lui, Macky Sall ne fait que détourner l’opinion par rapport aux questions essentielles comme la demande sociale qui ne connaît jusque là aucun début de solution, la prise en charge de l’emploi des jeunes qui se révèle de plus en plus une utopie, la fièvre d’Ebola qui s’est installée au Sénégal, « démontrant ainsi le laxisme de nos autorités et la non transparence dans la gestion de cette pandémie ainsi que l’université de Dakar qui se transforme en mouroir pour des étudiants qui n’ont de tort que de réclamer leurs bourses ».
« Dans ce même registre, il s’est félicité de la démarche de son leader Idrissa Seck qu’il a d’ailleurs considéré comme un éternel incompris. Selon ses convictions, le chef de Rewmi qui avait activement contribué à l’élection de l’actuel chef de l’Etat ne se préoccupe pas outre mesure de Macky Sall, mais des actes impopulaires qu’il ne cesse de poser au détriment des intérêts des populations, faisant fi du projet de société pour lequel les Sénégalais l’ont porté au pouvoir » nous dit toujours le communiqué. Le responsable local de Rewmi à Grand Yoff a demandé au président Macky Sall d’épargner le Sénégal de dépenses inutiles inhérentes à l’organisation d’un référendum et d’opter pour la formule parlementaire autour de la rallonge ou non de son mandat.
Sur le plan économique également, Moussa Fall a exprimé toute son indignation par rapport au manque de vision prospective du régime en place.
« Là où la Côte d’Ivoire qui se remet d’une guerre civile de trois (3) ans tend vers une croissance à deux (2) chiffres, le Sénégal est encore à la traîne en dépit du fait que le secteur agricole a été décliné comme le socle de notre développement » conclut-il dans le communiqué final de cette rencontre.
D’après le communiqué, classé quatrième (4ème) à l’issue des élections locales, le parti Rewmi avec à sa tête le responsable local de Grand Yoff s’est engagé dans une perspective de remobilisation des troupes et de massification des bases du parti pour préparer l’élection d’Idrissa Seck en 2017 à la magistrature suprême, si le référendum annoncé par Macky Sall limite le mandat présidentiel en cours à un quinquennat.
Sur le plan politique national, Moussa Fall a regretté ce recul démocratique dans lequel s’est inscrit Macky Sall et son régime depuis le 25 Mars 2012.
« En effet, il estime que dans un pays dit démocratique l’article 80 souvent brandi contre des adversaires politiques pour de supposés délits appelés offense au chef de l’Etat, cette disposition fourre-tout de la loi n’a pas sa place dans notre constitution », note le communiqué.
Parlant de la récente sortie de Macky Sall à l’encontre de la presse, le leader de Rewmi s’est fait l’avocat des préposés aux revues de presse. Pour M. Fall une telle diatribe démontre encore une fois que le pouvoir central est entrain de voler très bas.
Selon lui, Macky Sall ne fait que détourner l’opinion par rapport aux questions essentielles comme la demande sociale qui ne connaît jusque là aucun début de solution, la prise en charge de l’emploi des jeunes qui se révèle de plus en plus une utopie, la fièvre d’Ebola qui s’est installée au Sénégal, « démontrant ainsi le laxisme de nos autorités et la non transparence dans la gestion de cette pandémie ainsi que l’université de Dakar qui se transforme en mouroir pour des étudiants qui n’ont de tort que de réclamer leurs bourses ».
« Dans ce même registre, il s’est félicité de la démarche de son leader Idrissa Seck qu’il a d’ailleurs considéré comme un éternel incompris. Selon ses convictions, le chef de Rewmi qui avait activement contribué à l’élection de l’actuel chef de l’Etat ne se préoccupe pas outre mesure de Macky Sall, mais des actes impopulaires qu’il ne cesse de poser au détriment des intérêts des populations, faisant fi du projet de société pour lequel les Sénégalais l’ont porté au pouvoir » nous dit toujours le communiqué. Le responsable local de Rewmi à Grand Yoff a demandé au président Macky Sall d’épargner le Sénégal de dépenses inutiles inhérentes à l’organisation d’un référendum et d’opter pour la formule parlementaire autour de la rallonge ou non de son mandat.
Sur le plan économique également, Moussa Fall a exprimé toute son indignation par rapport au manque de vision prospective du régime en place.
« Là où la Côte d’Ivoire qui se remet d’une guerre civile de trois (3) ans tend vers une croissance à deux (2) chiffres, le Sénégal est encore à la traîne en dépit du fait que le secteur agricole a été décliné comme le socle de notre développement » conclut-il dans le communiqué final de cette rencontre.
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