
Revenant sur les raisons de ce mouvement de 96 heures, le Bureau national explique : « Le Gouvernement, visiblement, n’est pas pressé. Il vient de reporter pour la 3ème fois la réunion du "Comité de suivi". Attendant une réponse du Gouvernement à travers cette instance dont l’intérêt est de regrouper la Primature et tous les ministères concernés, le SAES est aujourd’hui dans l’expectative. Cependant quelle que soit la méthode utilisée par ce Gouvernement, le SAES restera droit dans ses bottes et fera face tant que notre système d’Enseignement supérieur restera entre des mains inexpertes ».