Le projet constituait un marché indien, d’une valeur d’un peu plus de 21 milliards de nos francs, a-ton lu dans l’As. Il était constitué de deux phases, pour couvrir les zones rurales en électricité. Plus de 240 installations étaient impliquées dans ce projet.
La seconde phase sera ainsi financée une fois que la première sera réussie. « Mais en pleine exécution de la première phase, alors qu’elle touchait à sa fin, que le ministre de l’Energie d’alors, Karim Wade établit un mandat, sans même avertir Aser et Enco, un second mandat au profit de la Tse Afrique pour faire le même travail » se souvient amèrement Abdou Sy, patron de Enco.
Selon lui, les responsables d’Enco ne voulaient pas y croire au départ, tellement que la chose était abbérante. « Nous avons donc essayé de prendre des contacts avec le ministre qui s’empressa alors dans un courrier daté d’avril 2011 de demander à Enco de mettre fin à ses activités dans ce projet jusqu’à nouvel ordre ».
Les conséquences étaient énormes pour le fils de Serigne Cheikh Tidiane Sy. « Depuis, c’est silence radio. Les travaux de finition ont été stoppés. Karim nous a plongé dans une situation délicate où nous étions obligés de continuer à payer des charges fixes sans travailler ».
La seconde phase sera ainsi financée une fois que la première sera réussie. « Mais en pleine exécution de la première phase, alors qu’elle touchait à sa fin, que le ministre de l’Energie d’alors, Karim Wade établit un mandat, sans même avertir Aser et Enco, un second mandat au profit de la Tse Afrique pour faire le même travail » se souvient amèrement Abdou Sy, patron de Enco.
Selon lui, les responsables d’Enco ne voulaient pas y croire au départ, tellement que la chose était abbérante. « Nous avons donc essayé de prendre des contacts avec le ministre qui s’empressa alors dans un courrier daté d’avril 2011 de demander à Enco de mettre fin à ses activités dans ce projet jusqu’à nouvel ordre ».
Les conséquences étaient énormes pour le fils de Serigne Cheikh Tidiane Sy. « Depuis, c’est silence radio. Les travaux de finition ont été stoppés. Karim nous a plongé dans une situation délicate où nous étions obligés de continuer à payer des charges fixes sans travailler ».
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