Un atelier d’évaluation et de planification a été tenu du lundi 13 au jeudi 16 avril dans les locaux du projet RADI à Kolda(sud) en compagnie des acteurs de communication pour mieux sensibiliser l’opinion sur les problèmes sociaux. CES problèmes sont entres autres les grossesses précoces, les viols, le harcèlement des femmes, les questions de l’état civil.
Pour l’émergence d’un mouvement dynamique d’organisation de femmes rurales pour le changement social et la paix, les animateurs radios et parajuristes ont un rôle fondamental à jouer dans l’approche communicative avec les populations.
A cette occasion, l’évaluation de la première phase a été faite suivie d’une nouvelle planification pour la phase II.
Pour étayer ces faits, monsieur Fodé Diba responsable régionale du projet RADI estime que c’est une aubaine pour les populations « nous sommes convaincu que ce renforcement de capacités est nécessaire pour ces acteurs, d’ailleurs nous avons eu des satisfactions dans la première c’est ce qui a motivé le prolongement des activités dans une nouvelle phase (phase II)», rassure-t-il.
Abordant dans le même sens sur les aspects attendus sur le terrain et justifiant le choix de kolda madame Saly Thiam responsable des programmes à RADI « notre choix pour kolda est simple car nous avons constaté qu’il y’a beaucoup de cas de violences c’est pourquoi nous pensons avec cette formation sur les techniques de communication et journalistiques nous pourrons arriver à changer la donne dans ces milieux », pense-t-elle.
Par le biais de cette formation les acteurs devront disposer d’une arme efficace pour bien communiquer avec les populations afin de changer les comportements.
AMADOU MAHMOUD DIALLO
Mahmuud30@hotmail.com
Pour l’émergence d’un mouvement dynamique d’organisation de femmes rurales pour le changement social et la paix, les animateurs radios et parajuristes ont un rôle fondamental à jouer dans l’approche communicative avec les populations.
A cette occasion, l’évaluation de la première phase a été faite suivie d’une nouvelle planification pour la phase II.
Pour étayer ces faits, monsieur Fodé Diba responsable régionale du projet RADI estime que c’est une aubaine pour les populations « nous sommes convaincu que ce renforcement de capacités est nécessaire pour ces acteurs, d’ailleurs nous avons eu des satisfactions dans la première c’est ce qui a motivé le prolongement des activités dans une nouvelle phase (phase II)», rassure-t-il.
Abordant dans le même sens sur les aspects attendus sur le terrain et justifiant le choix de kolda madame Saly Thiam responsable des programmes à RADI « notre choix pour kolda est simple car nous avons constaté qu’il y’a beaucoup de cas de violences c’est pourquoi nous pensons avec cette formation sur les techniques de communication et journalistiques nous pourrons arriver à changer la donne dans ces milieux », pense-t-elle.
Par le biais de cette formation les acteurs devront disposer d’une arme efficace pour bien communiquer avec les populations afin de changer les comportements.
AMADOU MAHMOUD DIALLO
Mahmuud30@hotmail.com
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