Le Cng de lutte veut mettre fin aux violences notées lors des face-à-face de lutte. « Depuis des années, on cherche à éradiquer ce fléau. On peut dire qu’au niveau des stades, ils n’y a plus de violence. Le seul problème se situe au niveau des face-à-face. Et la responsabilité incombe dès fois aux promoteurs. C’est eux qui distribuent des cartes d’invitation. Désormais, nous allons prendre une position de principe. Soit on fait des face-à-face dans les meilleures conditions, soit on les arrête », indique M. Kâ qui ajoute : « Pour l’incident de lundi dernier, la commissions de discipline est en train d’entendre les deux parties. Si elle termine, nous allons nous réunir pour prendre les sanctions idoines qui s’imposent ».







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