Un enfant de quatre ans est mort ce jeudi dans un incendie d’origine encore inconnue, au quartier Boucotte-Ouest, dans la commune de Ziguinchor (sud), a-t-on appris auprès des sapeurs-pompiers.
"Nous avons constaté la perte d’une personne de sexe masculin, un enfant âgé de quatre ans, dans cet incendie dont nous ignorons l’origine", a dit à la presse locale le sergent Mamadou Biaye de la 41e compagnie des sapeurs-pompiers.
Alertés un peu avant 18h, les "soldats du feu" se sont rendus sur le lieu du sinistre et ont maîtrisé les flammes aux environs de 18h30, a-t-il expliqué.
"Le feu s’est propagée de manière tellement rapide que nous ne pouvons pas évoquer l’éventualité d’un court-circuit", a témoigné Youssouph Sakho, un membre de la famille victime du sinistre.
"Un incendie causé par un court-circuit prend plus de temps que celui-ci", pense-t-il, en disant s’en remettre à la volonté divine.
Selon lui, l’enfant dormait dans l’une des chambres de la maison au moment du sinistre.
"Pris de panique, nous n’avons pensé à l’enfant qu’à un moment où il était impossible de pénétrer dans la chambre, à cause de la violence des flammes", a expliqué M. Sakho.
"Nous avons constaté la perte d’une personne de sexe masculin, un enfant âgé de quatre ans, dans cet incendie dont nous ignorons l’origine", a dit à la presse locale le sergent Mamadou Biaye de la 41e compagnie des sapeurs-pompiers.
Alertés un peu avant 18h, les "soldats du feu" se sont rendus sur le lieu du sinistre et ont maîtrisé les flammes aux environs de 18h30, a-t-il expliqué.
"Le feu s’est propagée de manière tellement rapide que nous ne pouvons pas évoquer l’éventualité d’un court-circuit", a témoigné Youssouph Sakho, un membre de la famille victime du sinistre.
"Un incendie causé par un court-circuit prend plus de temps que celui-ci", pense-t-il, en disant s’en remettre à la volonté divine.
Selon lui, l’enfant dormait dans l’une des chambres de la maison au moment du sinistre.
"Pris de panique, nous n’avons pensé à l’enfant qu’à un moment où il était impossible de pénétrer dans la chambre, à cause de la violence des flammes", a expliqué M. Sakho.
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