’Les problèmes actuels des inondations concernent plus généralement la notion de viabilité, c’est-à-dire l’ensemble des travaux d’aménagement (voirie, réseau d’eau de toute nature, réseau d’assainissement, réseau de téléphonie et la base de tout cela réseau d’électricité)’’, a indiqué Mame Saloum Samaké, sous-préfet à la retraite.
Dans une déclaration à la presse dont l’APS a obtenu copie, il a signalé que ces travaux d’aménagement ‘’doivent être réalisés sur un terrain avant toute construction, pour parer aux problèmes de la pluie, du vent et de toute autre intempérie et catastrophes naturelles’’.
M. Samaké, qui a officié avant sa retraite dans diverses localités de l’intérieur du pays et à Dakar, a expliqué que la "viabilité" des sites dépasse la notion de ‘’l’assainissement à laquelle on semble réduire ces problèmes’’ d’inondations et intègre des aspects tout aussi importants.
De son côté, a-t-il noté, ‘’l’assainissement concerne plutôt l’ensemble des techniques d’évacuation et de traitement des eaux usées et des boues résiduaires (Attributions de l’Office national de l’Assainissement, ONAS) et non les inondations (pluviales) provenant de la pluie ou autres inondations’’.
‘’Les problèmes actuels dépassent largement un service d’assainissement pour interpeller une Administration et des responsabilités globalement plus prévoyantes et plus engagées que les solutions d’urgence’’, a estimé l’ancien sous-préfet.
Dans une déclaration à la presse dont l’APS a obtenu copie, il a signalé que ces travaux d’aménagement ‘’doivent être réalisés sur un terrain avant toute construction, pour parer aux problèmes de la pluie, du vent et de toute autre intempérie et catastrophes naturelles’’.
M. Samaké, qui a officié avant sa retraite dans diverses localités de l’intérieur du pays et à Dakar, a expliqué que la "viabilité" des sites dépasse la notion de ‘’l’assainissement à laquelle on semble réduire ces problèmes’’ d’inondations et intègre des aspects tout aussi importants.
De son côté, a-t-il noté, ‘’l’assainissement concerne plutôt l’ensemble des techniques d’évacuation et de traitement des eaux usées et des boues résiduaires (Attributions de l’Office national de l’Assainissement, ONAS) et non les inondations (pluviales) provenant de la pluie ou autres inondations’’.
‘’Les problèmes actuels dépassent largement un service d’assainissement pour interpeller une Administration et des responsabilités globalement plus prévoyantes et plus engagées que les solutions d’urgence’’, a estimé l’ancien sous-préfet.
Ports ouest-africains : entre modernisation et rivalité régionale
