Au devant de la scène médiatique depuis le lundi 11 novembre, les lesbiennes de Piano Piano étaient hier devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar pour actes contre-natures et attentat à la pudeur. Seulement pour Ndèye Kébé qui préside aux destinées de l’association « Sourire de femmes » connue pour son engagement dans la défense des droits des minorités, les cinq femmes arrêtées et jugées ne sont pas lesbiennes. « Ces cinq filles ne sont pas lesbiennes, elles ont été arrêtées, mais elles n’ont pas accepté d’être des lesbiennes, car elles ont nié les accusations (…) je ne connais pas en ces femmes ce lesbianisme dont on parle…», plaide Ndèye Kébé qui, curieusement ne dit pas dans cet entretien que la vice-présidente de son association figure parmi les inculpées. Il s’agit de N.S. Dieng qui aurait avoué son homosexualité devant les limiers avant de se rétracter au tribunal.
A la question de savoir si elle est lesbienne, Ndèye Kébé entretien le flou total sur son orientation sexuelle. « C’est une question privée et ce n’est pas le débat. Ce que les gens disent importent peu pour moi, ce qui importe ce sont mes convictions personnelles, ma personnalité », a-t-elle évacué.
A la question de savoir si elle est lesbienne, Ndèye Kébé entretien le flou total sur son orientation sexuelle. « C’est une question privée et ce n’est pas le débat. Ce que les gens disent importent peu pour moi, ce qui importe ce sont mes convictions personnelles, ma personnalité », a-t-elle évacué.
Kémi Séba arrêté au Bénin !
