Laye Kouyaté en fait partie des jeunes musiciens qui ont très tôt cru qu’à leur savoir- faire, leur talent en vue de monter aux plus hautes manches de la musique. Actuellement au Sénégal après s’être muri entre son bien aimé pays et la France, Laye Kouyate, n’ayant jamais oublié ses racines renvient en force après plusieurs succès dans sa carrière. Et cette fois-ci, pour présenter « Degglu », (écoutez).
Ce sera pour novembre-décembre prochain. « Je suis en train de le finaliser. Ce nouveau tube est un mélange de sonorités, une fusion novatrice des musiques actuelles. Un vrai métissage et une fonte de styles musicaux. Une alliance de sonorités traditionnelles manding, aux percussions (Kora, Balafon) et des musiques occidentales » dit-il fièrement à la rédaction de setal.net.
C’est une affaire, d’une histoire ombilicale entre un homme et sa terre « L’album va être un mélange d’afro fusion rock, reggae et Mbalax » précise Laye Kouyaté. L’opus sera composé de 8 à 10 titres. En effet, Laye Kouyaté, c’est ce grand carrefour artistique, particulièrement musical aux textes conscients et originaux. Son choix musical à la croisée des chemins casse les codes et réuni en un même public et sans exception, toutes les tranches d’âge et milieux socioculturels.
Né au Sénégal d’une famille de griots musiciens, il s’est formé très tôt, à 16 ans aux chants traditionnels Manding, aux percussions et à la danse. Il intègre différentes troupes de quartier de la Médina et d’autres ballets à travers le Sénégal. Après une expérience de rencontre avec des artistes de renommée internationale et appuyé par des tournées en Europe, il forma le groupe « DjamTribu ». Ce groupe est composé d’artistes aux horizons musicaux diverses. Un véritable Condensé de plusieurs styles musicaux donnant un Afroworld.
Homosexualité : « chaque pays doit se donner les moyens de respecter les autres pays dans leurs croyances...» (Ousmane Sonko)
