En effet d’une part nous avons le camp présidentiel soutenu par sa coalition de BENNO, même si la dite coalition a changé de configuration depuis la victoire du deuxième tour en Mars 2012.
Et d’autre part l’opposition avec une grande partie de la Société Civile.
Dans le camp Présidentiel la campagne a commencé à l’instant où le Président a déclaré son intention d’organisé le Referendum pour le 20 Mars. Et qu’en face, ça a permis de mettre de côté les querelles de l’opposition lié au Leadership en laissant en place un nouveau Front appelé NIANI BAGNE NA.
Mais à côté de ces deux fronts du OUI et du NON il y a cette partie de la population et surtout la classe moyenne qui détient certainement la décision finale.
Voici aujourd’hui l’image qu’offre la configuration Politique de notre Pays lié au Referendum qui était censé consulter le Peuple pour savoir si OUI ou NON ils sont d’accord sur les 15 points qui font l’objet du Referendum et si la décision ou avis du Conseil Constitutionnel après la demande du Président de la République sur la diminution de son mandat en cours a été accepté par le peuple.
Pour en arriver là le Pouvoir a une grande part de Responsabilité et ce sera à lui seul d’en assumer les conséquences de la victoire du NON, car il en résultera un rejet de la politique actuelle du Gouvernement et de ses alliés. Ainsi la gestion du pays pour les trois ans qui nous séparent de la vraie prochaine date des Présidentielles seront pour le Président et sa coalition une période pour prouver à ces « Sénégalais normaux » que le Plan Sénégal Emergent est un outil fiable pour le développement du pays. Ceci en mettant en œuvre les projets encore rangés dans les dossiers des différents Ministères.
Quoi qu’il en soit le Referendum du 20 Mars 2016 apparait comme un moment décisif.
En effet l’APR et sa coalition devront remobiliser les troupes pour démontrer qu’ils ont toujours cette majorité absolue obtenue lors des deux dernières élections.
Le P.S quant à lui va êtreclarifié sur la légitimité du SecrétaireGénérale Ousmane Tanor Dieng contesté par une vague de Frondeur avec à sa tête Khalifa Sall et aussiAissataTallSall.
Au premier Khalifa Sall dont on prédit un destin Présidentielle il lui faudra avec ses compagnons de remporter la ville de DAKAR dont il est le Maire.
Et pour le PDS ils devront démontrer qu’ils sont toujours le premier Parti d’opposition malgré ces différentesdéfections qu’il a connu depuis la perte du pouvoir en Mars 2012. Ainsi l’enjeu sera aussi de réorganiser ses troupes et de confirmer certains Leaders au niveau de leurs bases respectives.
Pour terminer les autres Leaders de partis comme Idrissa SECK, Abdoulaye BALDE et Malick GACKOU ils leurs faudraient remporter leurs fiefs respectifs, THIES, ZIGUINCHOR et GUEDIAWAYE pour montrer qu’ils seront là pour les prochaines échéancesélectoralesen Juin 2017 pour les Législatives et Février 2019 pour les Présidentielles.
Et d’autre part l’opposition avec une grande partie de la Société Civile.
Dans le camp Présidentiel la campagne a commencé à l’instant où le Président a déclaré son intention d’organisé le Referendum pour le 20 Mars. Et qu’en face, ça a permis de mettre de côté les querelles de l’opposition lié au Leadership en laissant en place un nouveau Front appelé NIANI BAGNE NA.
Mais à côté de ces deux fronts du OUI et du NON il y a cette partie de la population et surtout la classe moyenne qui détient certainement la décision finale.
Voici aujourd’hui l’image qu’offre la configuration Politique de notre Pays lié au Referendum qui était censé consulter le Peuple pour savoir si OUI ou NON ils sont d’accord sur les 15 points qui font l’objet du Referendum et si la décision ou avis du Conseil Constitutionnel après la demande du Président de la République sur la diminution de son mandat en cours a été accepté par le peuple.
Pour en arriver là le Pouvoir a une grande part de Responsabilité et ce sera à lui seul d’en assumer les conséquences de la victoire du NON, car il en résultera un rejet de la politique actuelle du Gouvernement et de ses alliés. Ainsi la gestion du pays pour les trois ans qui nous séparent de la vraie prochaine date des Présidentielles seront pour le Président et sa coalition une période pour prouver à ces « Sénégalais normaux » que le Plan Sénégal Emergent est un outil fiable pour le développement du pays. Ceci en mettant en œuvre les projets encore rangés dans les dossiers des différents Ministères.
Quoi qu’il en soit le Referendum du 20 Mars 2016 apparait comme un moment décisif.
En effet l’APR et sa coalition devront remobiliser les troupes pour démontrer qu’ils ont toujours cette majorité absolue obtenue lors des deux dernières élections.
Le P.S quant à lui va êtreclarifié sur la légitimité du SecrétaireGénérale Ousmane Tanor Dieng contesté par une vague de Frondeur avec à sa tête Khalifa Sall et aussiAissataTallSall.
Au premier Khalifa Sall dont on prédit un destin Présidentielle il lui faudra avec ses compagnons de remporter la ville de DAKAR dont il est le Maire.
Et pour le PDS ils devront démontrer qu’ils sont toujours le premier Parti d’opposition malgré ces différentesdéfections qu’il a connu depuis la perte du pouvoir en Mars 2012. Ainsi l’enjeu sera aussi de réorganiser ses troupes et de confirmer certains Leaders au niveau de leurs bases respectives.
Pour terminer les autres Leaders de partis comme Idrissa SECK, Abdoulaye BALDE et Malick GACKOU ils leurs faudraient remporter leurs fiefs respectifs, THIES, ZIGUINCHOR et GUEDIAWAYE pour montrer qu’ils seront là pour les prochaines échéancesélectoralesen Juin 2017 pour les Législatives et Février 2019 pour les Présidentielles.
Me Amadou Aly Kane : « Il faut que les gens qui ont mal géré rendent compte»
