‘’Il faut aller à une taxation forte pour une diminution de la consommation du tabac comme cela s’est fait dans d’autres pays’’, a dit Awa Marie Coll Seck, relevant encore que l’objectif c’est d’avoir des ressources complémentaires pour assurer une couverture sanitaire universelle.
‘’Les taxes sur le tabac doivent être une réalité pour pouvoir prendre l’argent là où il est au niveau de l’industrie du tabac’’, a-t-elle dit.
Elle a appelé à la vigilance pour avoir ‘’une victoire sur le tabac et également améliorer la santé des populations en augmentant l’accès aux soins’’.
‘’Ce sera un plaidoyer que nous ferons ensemble car c’est possible que d’autres pensent pouvoir utiliser ces ressources générées par les taxes dans d’autres secteurs. Le plaidoyer le plus fort pour convaincre se base sur des statistiques vraies, limpides et pertinentes’’, a jouté le ministre.
C’est pourquoi elle a salué la parution de l’Atlas du tabac, affirmant que ‘’un véritable outil de travail qui met à la disposition des autorités des informations utiles fondées sur la certitude scientifique et susceptible d’emporter leur adhésion et leur engagement dans cette lutte qui est essentiellement politique’’.
‘’Il est temps que les décideurs dans les pays en développement soient convaincus que les pertes économiques liées au tabagisme sont largement supérieures aux investissements étrangers directs et aux recettes fiscales liées au commerce du tabac et de ses produits’’, a dit le ministre.
Awa Marie coll Seck a assuré que le gouvernement ''s’est engagé de façon irréversible'' dans la lutte antitabac et dans cette perspective, une nouvelle loi s’inspirant des dispositions de la Convention cadre de l’OMS sera présentée au parlement pour son adoption.
Pour le ministre de la Santé et de l’Action sociale, ‘’l’Etat ne se dérobera pas parce que c’est un Etat de rupture qui veut que les choses bougent et compte aller dans le sens de l’intérêt des populations’’.
‘’Ce processus sera conduit le plus rapidement à son terme avec toute la détermination requise car il s’agit pour nous de choisir entre la santé et le tabac, la vie et la mort’’, a-t-elle souligné.
Pour le représentant résident de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Dr Alimata Jeanne Diarra-Nama, la révision prochaine de la législation nationale est ‘’très attendue par la communauté internationale car elle constituera un modèle de bonne pratique en matière de protection de la santé des populations pour les autres pays de la région africaine’’.
La 4ème édition de l’Atlas édité en français a été lancée par l’American Cancer Society et Worl Lung Fondation qui considèrent que l’Afrique est une cible majeure pour la promotion et la vente des produits de l’industrie du tabac.
L’Atlas contient des informations sur les décès, les maladies liées au tabac ainsi que des ‘’connaissances les plus actuelles sur le tabagisme’’.
‘’Les taxes sur le tabac doivent être une réalité pour pouvoir prendre l’argent là où il est au niveau de l’industrie du tabac’’, a-t-elle dit.
Elle a appelé à la vigilance pour avoir ‘’une victoire sur le tabac et également améliorer la santé des populations en augmentant l’accès aux soins’’.
‘’Ce sera un plaidoyer que nous ferons ensemble car c’est possible que d’autres pensent pouvoir utiliser ces ressources générées par les taxes dans d’autres secteurs. Le plaidoyer le plus fort pour convaincre se base sur des statistiques vraies, limpides et pertinentes’’, a jouté le ministre.
C’est pourquoi elle a salué la parution de l’Atlas du tabac, affirmant que ‘’un véritable outil de travail qui met à la disposition des autorités des informations utiles fondées sur la certitude scientifique et susceptible d’emporter leur adhésion et leur engagement dans cette lutte qui est essentiellement politique’’.
‘’Il est temps que les décideurs dans les pays en développement soient convaincus que les pertes économiques liées au tabagisme sont largement supérieures aux investissements étrangers directs et aux recettes fiscales liées au commerce du tabac et de ses produits’’, a dit le ministre.
Awa Marie coll Seck a assuré que le gouvernement ''s’est engagé de façon irréversible'' dans la lutte antitabac et dans cette perspective, une nouvelle loi s’inspirant des dispositions de la Convention cadre de l’OMS sera présentée au parlement pour son adoption.
Pour le ministre de la Santé et de l’Action sociale, ‘’l’Etat ne se dérobera pas parce que c’est un Etat de rupture qui veut que les choses bougent et compte aller dans le sens de l’intérêt des populations’’.
‘’Ce processus sera conduit le plus rapidement à son terme avec toute la détermination requise car il s’agit pour nous de choisir entre la santé et le tabac, la vie et la mort’’, a-t-elle souligné.
Pour le représentant résident de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Dr Alimata Jeanne Diarra-Nama, la révision prochaine de la législation nationale est ‘’très attendue par la communauté internationale car elle constituera un modèle de bonne pratique en matière de protection de la santé des populations pour les autres pays de la région africaine’’.
La 4ème édition de l’Atlas édité en français a été lancée par l’American Cancer Society et Worl Lung Fondation qui considèrent que l’Afrique est une cible majeure pour la promotion et la vente des produits de l’industrie du tabac.
L’Atlas contient des informations sur les décès, les maladies liées au tabac ainsi que des ‘’connaissances les plus actuelles sur le tabagisme’’.
Première visite officielle : Le Président Bassirou Diomaye Faye prend les airs pour Nouakchott (Photos)
