Selon le DGSE, «même au niveau du Système des Nations- Unies, il n’y a pas un organisme spécifiquement dédié à la gestion des étrangers. L’OIM (Organisation internationale pour la migration), n’est pas un organisme des NU, mais plutôt un organisme pour les pays du Nord et du Sud qui l’ont créé pour pouvoir dialoguer sur la question de la migration de manière générale». Le Système des NU n'a eu son 1er dialogue de haut niveau qu'à partir de 2006. Et, c’est le 2ème dialogue en 2013 qui a posé la problématique entre ‘’migration et développement’’.
L’Ambassadeur Kaba s’explique : «les sénégalais de l’extérieur prétendent être, et c’est le cas je le confirme, le 1er bailleur de l’Etat du Sénégal en terme de rentrée d’argent». Il a révélé que les chiffrent nous parlent de 645 milliards envoyés, selon la BCEAO. Ce qui fait 3 fois l’aide publique au développement.
Ces éléments qui sont abordés dans le fonds du texte intitulé ‘’Etat de la migration’’, indique Mr KABA, tiennent plus leur pertinence par rapport au contexte général de la migration. C’est pourquoi, l’ambassadeur a annoncé que cet ‘’Etat de la migration’’ fera l’objet d’une publication périodique.
Le DGSE a fait comprendre que la migration c’est dans les deux sens, l'une en direction de la sortie et l'autre en direction de l'entrée dans le territoire. «Ce qui nous préoccupe le plus, c’est le sens sortie du territoire, les sénégalais qui quittent donc le territoire sénégalais, et qu’on appelle les émigrés. Les étrangers qui vivent parmi nous sont gérés directement par le ministère de l’Intérieur. Mais les deux sens nous permettent de parler de migration, càd l’immigration et l’émigration», a-t- il expliqué. Il a parlé de l’Etat de la migration parce que, selon lui, il peut arriver qu’il y ait des interférences difficiles à détecter.
L’ambassadeur KABA a rassuré qu’il fera l’effort d’informer le public à chaque fois que le besoin se fera sentir sur la gestion des sénégalais de l’Extérieur et dans une moindre mesure sur celle des Étrangers qui vivent au Sénégal.
L’Ambassadeur Kaba s’explique : «les sénégalais de l’extérieur prétendent être, et c’est le cas je le confirme, le 1er bailleur de l’Etat du Sénégal en terme de rentrée d’argent». Il a révélé que les chiffrent nous parlent de 645 milliards envoyés, selon la BCEAO. Ce qui fait 3 fois l’aide publique au développement.
Ces éléments qui sont abordés dans le fonds du texte intitulé ‘’Etat de la migration’’, indique Mr KABA, tiennent plus leur pertinence par rapport au contexte général de la migration. C’est pourquoi, l’ambassadeur a annoncé que cet ‘’Etat de la migration’’ fera l’objet d’une publication périodique.
Le DGSE a fait comprendre que la migration c’est dans les deux sens, l'une en direction de la sortie et l'autre en direction de l'entrée dans le territoire. «Ce qui nous préoccupe le plus, c’est le sens sortie du territoire, les sénégalais qui quittent donc le territoire sénégalais, et qu’on appelle les émigrés. Les étrangers qui vivent parmi nous sont gérés directement par le ministère de l’Intérieur. Mais les deux sens nous permettent de parler de migration, càd l’immigration et l’émigration», a-t- il expliqué. Il a parlé de l’Etat de la migration parce que, selon lui, il peut arriver qu’il y ait des interférences difficiles à détecter.
L’ambassadeur KABA a rassuré qu’il fera l’effort d’informer le public à chaque fois que le besoin se fera sentir sur la gestion des sénégalais de l’Extérieur et dans une moindre mesure sur celle des Étrangers qui vivent au Sénégal.
JOJ Dakar 2026 : le Président de la République ordonne une accélération des chantiers
