La capitale sénégalaise est le théâtre de la 19ᵉ Assemblée générale de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), ouverte ce lundi, en présence du Président Bassirou Diomaye Faye.
Ce rendez-vous majeur réunit des responsables universitaires, des experts, des chercheurs et des décideurs venus de divers pays francophones, pour réfléchir à l’avenir de la science, de la recherche et de l’innovation dans l’espace francophone.
Dans son allocution d’ouverture, le Président Faye a insisté sur l’importance stratégique du savoir comme moteur de transformation. Il a rappelé que science et culture sont intimement liées et constituent le socle de la souveraineté des nations. Selon lui, l'Afrique doit renforcer son investissement dans la recherche, l’innovation et la valorisation des savoirs endogènes, afin de construire « une autonomie intellectuelle et technologique durable ».
Le chef de l’État a ainsi appelé à une mobilisation collective pour faire de la francophonie, un espace d’excellence scientifique, d’innovation et d’intégration, capable de répondre aux enjeux contemporains, notamment dans les domaines numériques, éducatifs, environnementaux et socioculturels.
Pays hôte de cette rencontre, le Sénégal confirme son statut de terre de savoir, d’hospitalité et de rayonnement intellectuel, tout en renouvelant son engagement en faveur d’une francophonie ouverte, inclusive et résolument tournée vers l’avenir.
Ce rendez-vous majeur réunit des responsables universitaires, des experts, des chercheurs et des décideurs venus de divers pays francophones, pour réfléchir à l’avenir de la science, de la recherche et de l’innovation dans l’espace francophone.
Dans son allocution d’ouverture, le Président Faye a insisté sur l’importance stratégique du savoir comme moteur de transformation. Il a rappelé que science et culture sont intimement liées et constituent le socle de la souveraineté des nations. Selon lui, l'Afrique doit renforcer son investissement dans la recherche, l’innovation et la valorisation des savoirs endogènes, afin de construire « une autonomie intellectuelle et technologique durable ».
Le chef de l’État a ainsi appelé à une mobilisation collective pour faire de la francophonie, un espace d’excellence scientifique, d’innovation et d’intégration, capable de répondre aux enjeux contemporains, notamment dans les domaines numériques, éducatifs, environnementaux et socioculturels.
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