Dans un communiqué repris par Wal fadjri, l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Isesco) «condamne fermement» les propos du président de Rewmi à propos du conflit israélo-palestinien.
La même source rapporte que l’Isesco précise que de telles «déclarations» jugées «irresponsables» ne devraient pas être prononcées par un ancien ministre et du moins un candidat à la prochaine présidentielle d’un État membre de l’Isesco.
Soutenant qu’une telle situation peut «créer la zizanie et la discorde» entre le Sénégal et les autres pays arabes, l’Isesco somme les autorités sénégalaises à «prendre une position ferme face aux déclarations suspectes» d’Idrissa Seck dont les propos, indique Walf, ont été déjà condamnés par l’Egypte et l’Arabie saoudite
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