Un rapport de Amnesty internationale de 1995 avait accablé l’ex président Abdou Diouf sur les tueries qu’il a causé en Casamance. Mais jusque là, il n’est inquiété et n’a jamais été inquiété. Cette situation, s’ajoute d’autres massacres, des braquages… mais les organisations de défense des Droits de l’Homme ne font regarder, et si dénonciation il ya, les degrés est moins comme dans le cadre des meurtres purement politique, où ses organisation de défense des droits de l’Homme font tout pour avoir au moins un procès. Le cas de Robert Antoine Sambou, froidement séquestré à mort à Elinkine, par des militaires en est une illustration parfaite. Malgré la promesse de l’ex PM, Abdoul Mbaye, de faire toute la lumière sur ce crime, l’Etat semble oublier le dossier. Autant d’exemple qui frise le ridicule sur l’attitude de ces organisations de défense des Droits de l’Homme qui allient action et inaction selon les cas. Pour venir sur le conflit en Casamance avec toutes ses conséquences, la(Raddho) a dénoncé hier à Ziguinchor le non respect des Droits de l’homme dans cette partie du Sénégal. Et du coup, elle pointe du doigt, le morcellement du(MFDC) qui, à son avis, ne favorise pas l’unité pour aller vers des négociations. Toutefois, Aboubacry Mbdodji a invité les autorités étatiques à œuvrer pour l’réunification du(MFDC) en guise d’aller à des négociations sérieuses.
source: l'As
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