SETAL.NET - Samedi dernier, le fils de Wade a reçu une convocation du Procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite lui demandant de déférer devant son cabinet sis au Point. Libération de ce lundi 11 mars donne la nouvelle en précisant que Karim Wade ne sera pas mis aux arrêts. En vérité, l’ancien ministre des Transports aériens doit recevoir sa mise en demeure des mains d’Alioune Ndao. Qui, selon Libération a sur sa table les conclusions de l’enquête de la Section de recherches de la Gendarmerie sur le patrimoine de Wade fils.
Des conclusions qui, du reste, ne militent guère en faveur de Karim Wade. Les enquêteurs accusent ce dernier d’enrichissement illicite, mais aussi d’avoir à travers plusieurs sociétés (Ahs, Shs, Abc, Coral services, Flight Business etc) qu’il contrôle via des hommes-liges, causé un énorme préjudice à l’Etat du Sénégal.
L'ancien Président du Conseil de surveillance aura en effet un mois pour justifier l'origine licite de ses biens. Si le procureur n'est pas convaincu par ses arguments, il requerra devant la commission d'instruction de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei) le placement sous mandat de dépôt de Karim Wade, à défaut de transaction.
Mais les choses pourraient se corser pour le fils de l’ancien président du Sénégal qui soutenait devant les hommes en bleu qu’il avait une fortune de 8 milliards FCFA avant 2000, puisque Libération martèle que l’Agent judiciaire de l’Etat compte se constituer parti civile au-delà même des poursuites que va déclencher le Parquet spécial.
Des conclusions qui, du reste, ne militent guère en faveur de Karim Wade. Les enquêteurs accusent ce dernier d’enrichissement illicite, mais aussi d’avoir à travers plusieurs sociétés (Ahs, Shs, Abc, Coral services, Flight Business etc) qu’il contrôle via des hommes-liges, causé un énorme préjudice à l’Etat du Sénégal.
L'ancien Président du Conseil de surveillance aura en effet un mois pour justifier l'origine licite de ses biens. Si le procureur n'est pas convaincu par ses arguments, il requerra devant la commission d'instruction de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei) le placement sous mandat de dépôt de Karim Wade, à défaut de transaction.
Mais les choses pourraient se corser pour le fils de l’ancien président du Sénégal qui soutenait devant les hommes en bleu qu’il avait une fortune de 8 milliards FCFA avant 2000, puisque Libération martèle que l’Agent judiciaire de l’Etat compte se constituer parti civile au-delà même des poursuites que va déclencher le Parquet spécial.
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