Le Recteur de l’Université du Sine-Saloum, Amadou Tidiane Guiro, est plus que jamais déterminé à faire de ce futur temple du savoir, l’un des plus attractifs du Sénégal. Selon lui, la démarche d’approche par compétences qui a été mise en œuvre, est «révolutionnaire et constitue une rupture porteuse d’innovations» par rapport à notre démarche classique. «Nous partons des besoins identifiés pour proposer une offre de formation qui associe les universitaires, chercheurs, développeurs et secteur privé», a-t-il soutenu.
Par cette «démarche nouvelle, originale, assise sur un partenariat étroit dès le départ avec les secteurs socioéconomiques», l’Ussein compte apporter une réponse concrète au défi de l’adéquation formation-emploi.
A en croire Pr Guiro, cette future université va contribuer à «corriger l’énorme déséquilibre dans la distribution des institutions universitaires et à relever plusieurs défis, tels que: l’insécurité alimentaire, l’agriculture durable, l’élargissement de la carte universitaire et de l’attractivité, l’adéquation formation-emploi et de la professionnalisation». Des défis qui, selon lui, fondent la vision de faire de l’Ussein «une université d’excellence pour la sécurité alimentaire, le développement durable et la prospérité».
Aussi, le recteur a soutenu que l’Ussein sera une université de 4ème génération qui va dispenser une formation professionnalisante dans une perspective d’auto-emploi et de développement de l’initiative privée autour du potentiel agricole des régions du pays. Elle sera aussi une université qui va déployer une politique de recherche et d’innovations de qualité autour des grandes préoccupations du pays dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche, de l’environnement, qui font sa spécificité.
Amadou Tidiane Guiro s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture de l’atelier de validation des métiers et définition des filières d’enseignement de l’Ussein, qui a vécu ce jeudi 17 décembre à Kaolack.
Par cette «démarche nouvelle, originale, assise sur un partenariat étroit dès le départ avec les secteurs socioéconomiques», l’Ussein compte apporter une réponse concrète au défi de l’adéquation formation-emploi.
A en croire Pr Guiro, cette future université va contribuer à «corriger l’énorme déséquilibre dans la distribution des institutions universitaires et à relever plusieurs défis, tels que: l’insécurité alimentaire, l’agriculture durable, l’élargissement de la carte universitaire et de l’attractivité, l’adéquation formation-emploi et de la professionnalisation». Des défis qui, selon lui, fondent la vision de faire de l’Ussein «une université d’excellence pour la sécurité alimentaire, le développement durable et la prospérité».
Aussi, le recteur a soutenu que l’Ussein sera une université de 4ème génération qui va dispenser une formation professionnalisante dans une perspective d’auto-emploi et de développement de l’initiative privée autour du potentiel agricole des régions du pays. Elle sera aussi une université qui va déployer une politique de recherche et d’innovations de qualité autour des grandes préoccupations du pays dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche, de l’environnement, qui font sa spécificité.
Amadou Tidiane Guiro s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture de l’atelier de validation des métiers et définition des filières d’enseignement de l’Ussein, qui a vécu ce jeudi 17 décembre à Kaolack.
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