Le PAIS (programme agriculture Italie-Sénégal) lancé ce mardi 23 février vient renforcer la lutte contre l’insécurité alimentaire. Ce programme compte améliorer les conditions de vie des populations surtout celles du monde rurale, précise le secrétaire d’état à l’accompagnement et à la mutualisation des organisations paysannes du Sénégal Moustapha Lo Diatta.
Renforcer la riziculture avec des moyens adéquats, avance-t-il, «nous voulons améliorer la production rizicole locale avec de nouveaux moyens comme les tracteurs, les moissonneuses et des décortiqueuses » souligne-t-il.
Ce programme qui s’inscrit dans le cadre de l’autosuffisance en riz veut apporter une nouvelle contribution à l’instar du PAPIL (programme d’appui à la petite irrigation locale) ou du PADAER (programme d’appui à l’agriculture et à l’entreprenariat rural).
Ainsi, 240 ha seront aménagés avec l’appui de la SODAGRI et réhabilitées des vallées dégradées, souligne-t-il, « nous comptons sur la mécanisation du secteur et surtout nous inscrire dans un nouveau challenge c'est-à-dire le financement de microprojets agricoles » réitère-il.
Nous mettrons en place des financements pour les femmes, les jeunes pour limiter les dégâts de l’immigration clandestine en boostant l’économie pour que ces derniers trouvent leur compte dans ce programme. Nous ferons en ce sens, d’une pierre deux coups en luttant contre l’insécurité alimentaire malgré le réel problème du foncier qui demeure une épineuse question pouvant être solutionné, soutient-il toujours.
Ahmet Fall coordonnateur national du PAIS, se positionner dans la durée pour le bien-être des populations qui doit passer par une mutualisation des forces du secteur, rappelle-t-il « nous devons booster la production avec nos partenaires comme la SODAGRI pour atteindre l’autosuffisance alimentaire » souhaite-t-il.
Ce projet d’une valeur de 18 millions d’euros sur une durée de trois ans couvre les régions de Kolda, Sédhiou et Kaolack.
Renforcer la riziculture avec des moyens adéquats, avance-t-il, «nous voulons améliorer la production rizicole locale avec de nouveaux moyens comme les tracteurs, les moissonneuses et des décortiqueuses » souligne-t-il.
Ce programme qui s’inscrit dans le cadre de l’autosuffisance en riz veut apporter une nouvelle contribution à l’instar du PAPIL (programme d’appui à la petite irrigation locale) ou du PADAER (programme d’appui à l’agriculture et à l’entreprenariat rural).
Ainsi, 240 ha seront aménagés avec l’appui de la SODAGRI et réhabilitées des vallées dégradées, souligne-t-il, « nous comptons sur la mécanisation du secteur et surtout nous inscrire dans un nouveau challenge c'est-à-dire le financement de microprojets agricoles » réitère-il.
Nous mettrons en place des financements pour les femmes, les jeunes pour limiter les dégâts de l’immigration clandestine en boostant l’économie pour que ces derniers trouvent leur compte dans ce programme. Nous ferons en ce sens, d’une pierre deux coups en luttant contre l’insécurité alimentaire malgré le réel problème du foncier qui demeure une épineuse question pouvant être solutionné, soutient-il toujours.
Ahmet Fall coordonnateur national du PAIS, se positionner dans la durée pour le bien-être des populations qui doit passer par une mutualisation des forces du secteur, rappelle-t-il « nous devons booster la production avec nos partenaires comme la SODAGRI pour atteindre l’autosuffisance alimentaire » souhaite-t-il.
Ce projet d’une valeur de 18 millions d’euros sur une durée de trois ans couvre les régions de Kolda, Sédhiou et Kaolack.
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