Après le jeune policier Mamadou Ndiaye qui était en formation au camp Michel Legrand de Thiès et décédé, le 23 février dernier lors d’un entrainement. Un jeune sapeur-pompier a connu les mêmes brimades et a été torturé à mort. Le certificat de genre de mort fait état de blessures inouïes dont une cassure au niveau des côtes. La famille de la victime vient de saisir l’avocat Me Assane Dioma Ndiaye Président de la ligue sénégalaise des droits de l’homme.
Sangalkam : 5 membres d’un gang armé, arrêtés pour vol de bétail
