Invité de l’emission hebdomadaire de la RFM, "le Grand Jury", le conseiller spécial du Président de la République, El Hadj Hamidou Kassé, a déclaré que Me Abdoulaye Wade ancien Chef de l’état était dans une logique de « prise de pouvoir par la rue ». Selon le journaliste, des indices discursifs révèlent cette option de l’ancien Chef de l’Etat, indices décelés lors de ses discours à son départ de Paris, mais aussi au niveau de la Permanence du Parti démocratique Sénégalais. Il s’agit, énumère-t-il, «Si je dis à mes militants d’aller occuper le palais, ils vont le faire ; si je veux faire un coup d’Etat je le ferai… ; Macky Sall n’a pas la police, Macky Sall n’a pas la gendarmerie. Ce sont là des actes de déstabilisation», ajoute-t-il.
El Hadj Hamidou Kassé a par ailleurs noté que le pouvoir n’était pas « dans une paranoïa Wade », vu les moyens extraordinaires décelés pour assurer « la sécurité, mais plutôt était dans son rôle régalien ». Le President du comité scientifique du sommet de la Francophonie a par ailleurs précisé que le Président Sall n’était pas « mal entouré » comme le lui prêtent certains observateurs. « L’on parle toujours de mauvais entourage depuis Senghor en passant par Diouf et Wade. Mais je ne suis pas du même avis! Le Président a conscience de tout cela et si jamais c’était le cas, il n’hésiterait pas à se séparer d’eux. Je ne suis pas dans le débat, et il faut faire confiance au Chef de l’Etat qui a des défis majeurs à relever. On attend beaucoup du Sénégal. Autre défi que le président a, est celui du Plan Sénégal Emergent. Donc, il faut une philosophie du cap
» a-t-il toutefois indiqué.
El Hadj Hamidou Kassé a par ailleurs noté que le pouvoir n’était pas « dans une paranoïa Wade », vu les moyens extraordinaires décelés pour assurer « la sécurité, mais plutôt était dans son rôle régalien ». Le President du comité scientifique du sommet de la Francophonie a par ailleurs précisé que le Président Sall n’était pas « mal entouré » comme le lui prêtent certains observateurs. « L’on parle toujours de mauvais entourage depuis Senghor en passant par Diouf et Wade. Mais je ne suis pas du même avis! Le Président a conscience de tout cela et si jamais c’était le cas, il n’hésiterait pas à se séparer d’eux. Je ne suis pas dans le débat, et il faut faire confiance au Chef de l’Etat qui a des défis majeurs à relever. On attend beaucoup du Sénégal. Autre défi que le président a, est celui du Plan Sénégal Emergent. Donc, il faut une philosophie du cap
» a-t-il toutefois indiqué.
Comptes publics : Abdou Diouf aussi "avait maquillé les chiffres"
