Ramadan au Sénégal rime avec ce qu’on appelle le « sukaru koor », pratique qui consiste à remettre du sucre à sa belle famille à l'occasion du jeûne du ramadan afin d’arrondir les angles avec celle-ci. Mais par moment, ladite pratique peut se révéler dévastatrice, surtout chez les jeunes filles.
L’une d’entre elles qui s’est laissé amadouer par la largesse d’un animateur très célèbre ne dira pas le contraire. Intervenant dans l’émission « Thème de la semaine » animée par le tonitruant Mamadou Ndoye Bane de Walf FM, la jeune fille qui est âgée de 19 ans raconte que depuis que le « sukaru « koor lui a valu sa virginité. « Lorsque j’ai eu des démêlés avec mon premier amour, j’ai fait la connaissance d’un animateur qui, à longueur de journée ne tarissait pas d’éloge à mon égard. Quand le ramadan est arrivé, il est venu chez moi pour m’apporter le ‘sukaru koor’ en promettant de me faire oublier mon chagrin. Trois jours après la Korité, je suis parti en voyage dans une ville située à 70 km de Dakar. Lorsque je m’apprêtais à rentrer, je reçois un coup de fil, c’est lui. Il me fait savoir qu’il se trouve dans la même ville et qu’il aimerait que je le rejoigne afin de passer la journée avec lui. Je l’ai rejoint. Et il m’a convaincu de coucher d’avoir des rapports sexuels avec lui (…) une semaine après, je mettais un terme à cette relation. Néanmoins, il continuait à m’appeler…», révèle la fille qui regrette d’avoir donné ce qu’elle avait de plus cher à un homme pour son « sukaru koor ».
L’une d’entre elles qui s’est laissé amadouer par la largesse d’un animateur très célèbre ne dira pas le contraire. Intervenant dans l’émission « Thème de la semaine » animée par le tonitruant Mamadou Ndoye Bane de Walf FM, la jeune fille qui est âgée de 19 ans raconte que depuis que le « sukaru « koor lui a valu sa virginité. « Lorsque j’ai eu des démêlés avec mon premier amour, j’ai fait la connaissance d’un animateur qui, à longueur de journée ne tarissait pas d’éloge à mon égard. Quand le ramadan est arrivé, il est venu chez moi pour m’apporter le ‘sukaru koor’ en promettant de me faire oublier mon chagrin. Trois jours après la Korité, je suis parti en voyage dans une ville située à 70 km de Dakar. Lorsque je m’apprêtais à rentrer, je reçois un coup de fil, c’est lui. Il me fait savoir qu’il se trouve dans la même ville et qu’il aimerait que je le rejoigne afin de passer la journée avec lui. Je l’ai rejoint. Et il m’a convaincu de coucher d’avoir des rapports sexuels avec lui (…) une semaine après, je mettais un terme à cette relation. Néanmoins, il continuait à m’appeler…», révèle la fille qui regrette d’avoir donné ce qu’elle avait de plus cher à un homme pour son « sukaru koor ».
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