La journaliste Aissatou Diop Fall qui s’est fait remarquer par ses dreadlocks et son look de garçon s’est métamorphosée. Complètement. ADF, comme l’appellent ses confrères, s’est départie de sa tignasse. « Je ne me sentais même pas femme », semble-t-elle regretter non sans révéler qu’il lui a fallu 4 mois pour se préparer à dire adieu à ses amours. « Je m’y suis préparée pendant près de 4 mois et j’ai fini par me faire à l’idée que si je les enlevais, il y aurait au moins une personne qui sera contente et c’est ma mère », confie la présentatrice de la nouvelle émission Face 2 face sur TFM. Elle a eu gain de cause car à la vue de son nouveau look, sa mère a craqué. « Elle avait les larmes aux yeux », place-t-elle dans les colonnes de l'Obs lu par Setal.net.
Ce n’est pas tout, l’intervieweuse jugée très bouillante par ses invités en a rajouté une couche. Son envie de ressembler à ce qu’elle est, une femme, la tenaille de plus en plus. A l’instar de nombre de sénégalaises, elle s’est mise au Xessal. Détournement d’objectif ! Le budget des dreadlocks atterrit à la gamme de produits pour un teint éclatant. Son image se retrouve moins écornée et elle se fait courtiser comme une adolescente. Mais est surprise de l’intérêt que portent les hommes sénégalais aux femmes divorcées. « J’ai comme l’impression que les sénégalais raffolent des femmes divorcées. Je suis toujours célibataires mais je reçois beaucoup plus de prétendants », livre la journaliste qui ajoute que cela s’est accentuée quand elle a commencé à s’éclaircir la peau et à changer de coiffure. Une tournure qui la pousse à se demander « pourquoi je ne l’ai pas fait avant ? ». Mais l’adage dit qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Ce n’est pas tout, l’intervieweuse jugée très bouillante par ses invités en a rajouté une couche. Son envie de ressembler à ce qu’elle est, une femme, la tenaille de plus en plus. A l’instar de nombre de sénégalaises, elle s’est mise au Xessal. Détournement d’objectif ! Le budget des dreadlocks atterrit à la gamme de produits pour un teint éclatant. Son image se retrouve moins écornée et elle se fait courtiser comme une adolescente. Mais est surprise de l’intérêt que portent les hommes sénégalais aux femmes divorcées. « J’ai comme l’impression que les sénégalais raffolent des femmes divorcées. Je suis toujours célibataires mais je reçois beaucoup plus de prétendants », livre la journaliste qui ajoute que cela s’est accentuée quand elle a commencé à s’éclaircir la peau et à changer de coiffure. Une tournure qui la pousse à se demander « pourquoi je ne l’ai pas fait avant ? ». Mais l’adage dit qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire.
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