SETAL.NET - Abandonnant les embarcations de fortune qui partaient du Sénégal, les jeunes sénégalais avides de jours meilleurs ont trouvé une nouvelle manière, moins risquée, de rallier l’Espagne. En effet, il s’agit de gagner le Maroc, et une fois au royaume chérifien, emprunter un zodiac pour gagner l’Espagne.
Mais l’expédition de mardi dernier s’est terminée en larmes pour les parents de treize sénégalais qui ont quitté Boukhalef (Maroc) pour la traversée de la mort. Ils croyaient avoir les moyens de battre la mer sur son propre terrain. Hélas, ils n’ont pas pu. Les conditions (vagues de plus de 3 mètres, un vent soufflant à plus de 340 kilomètres heure) n’ont pas concouru en leur faveur.
Selon l’Obs qui tient l’information des Espagnols, ce dimanche huit d’entre eux ont été repêchés, mais ils avaient déjà rendu l’âme. Les cinq autres étant introuvables. Mais il est quasi-certain qu’ils n’ont pas connu meilleur sort que leurs camarades d’infortune.
Mais l’expédition de mardi dernier s’est terminée en larmes pour les parents de treize sénégalais qui ont quitté Boukhalef (Maroc) pour la traversée de la mort. Ils croyaient avoir les moyens de battre la mer sur son propre terrain. Hélas, ils n’ont pas pu. Les conditions (vagues de plus de 3 mètres, un vent soufflant à plus de 340 kilomètres heure) n’ont pas concouru en leur faveur.
Selon l’Obs qui tient l’information des Espagnols, ce dimanche huit d’entre eux ont été repêchés, mais ils avaient déjà rendu l’âme. Les cinq autres étant introuvables. Mais il est quasi-certain qu’ils n’ont pas connu meilleur sort que leurs camarades d’infortune.
Ports ouest-africains : entre modernisation et rivalité régionale
