Le lutteur qui aurait été touché par les mots de son qui, malgré le sale quart d’heure passé entre les mains des hommes de son idole, ne veut pas voir ce dernier croupir en prison, a envoyé des émissaires pour des rapprochements. Et il a eu gain de cause. Le différend est dorénavant un mauvais souvenir. Il reste juste à l’officialiser devant le juge. Ce sera pour le 17 octobre prochain. Tout est bien qui finit bien.







Lac de Guiers 2 au tapis judiciaire : un an de prison, dont trois mois ferme et plus de 53 millions à rembourser
