Une centaine de baraquements qui pullulaient dans la zone de N'gor/Almadies ont été rasés hier au cours d’une opération de désencombrement de la zone. Il faut le dire, ces habitations de fortune causaient un réel problème de promiscuité, d’insécurité mais aussi de débauche. Selon le maire de cette zone, Amadou Guèye, des plaintes récurrentes émanent des riverains qui se plaignaient de cet état de fait. « Vous comprenez que dans une zone résidentielle, des baraquements qui n’ont ni eau courante ni toilettes, cela soit inacceptable. Vous voyez bien les dégâts que cela peut faire. Les gens jetaient leurs détritus n'importe où. Il y avait en outre un problème d’insécurité, de promiscuité et de débauche. Nous avons fait donc d’une pierre deux coups » dira-t-il.
Assurant que cette opération a été une solution concertée, le maire a ajouté qu’il ne comptait pas en rester là et va débarrasser la commune de toute occupation illégale de la voie publique. « Nous avions fait un arrêté dans lequel nous avions donné un mois de sommation ; on leur a accordé un mois supplémentaire pour qu’ils se mettent à labri. Nous n’avons noté aucune résistance car je pense qu’ils ont compris qu’ils étaient dans l’illégalité. Maintenant on va reconduire cela et faire en sorte que tout ce qui doit être dégagé de la voie publique et qui gêne les riverains et donne un aspect négatif de la commune, sera enlevé. Tous ce qui occupent la voie publique doivent s’attendre un jour ou l’autre à être déguerpis » martèlera t-il.
Pour l’heure, aucune mesure d’accompagnement n’a été noté pour les déguerpis qui sont partis sans demander leur reste, en quête certainement de terrains plus propices..
Assurant que cette opération a été une solution concertée, le maire a ajouté qu’il ne comptait pas en rester là et va débarrasser la commune de toute occupation illégale de la voie publique. « Nous avions fait un arrêté dans lequel nous avions donné un mois de sommation ; on leur a accordé un mois supplémentaire pour qu’ils se mettent à labri. Nous n’avons noté aucune résistance car je pense qu’ils ont compris qu’ils étaient dans l’illégalité. Maintenant on va reconduire cela et faire en sorte que tout ce qui doit être dégagé de la voie publique et qui gêne les riverains et donne un aspect négatif de la commune, sera enlevé. Tous ce qui occupent la voie publique doivent s’attendre un jour ou l’autre à être déguerpis » martèlera t-il.
Pour l’heure, aucune mesure d’accompagnement n’a été noté pour les déguerpis qui sont partis sans demander leur reste, en quête certainement de terrains plus propices..