« Les œuvres sociales de l’université Assane Seck ne peuvent plus dépendre de l’UCAD. Nous ne reculerons pas devant cette autonomie ».
Toutefois, même s’il comprend la sortie des étudiants, le secrétaire général de l’UAZ appelle à la patience. « On avait retenu le 1er janvier 2016 mais, ça n’a pas pu aboutir. J’appelle les étudiants à être plus mesurés, à ne pas aller vers une confrontation, des grèves qui ne font ni leur affaire ni celle de personne pour ne pas encore hypothéquer l’année à venir ».
Selon l’administration de l’UAZ, tout est fin prêt au niveau du ministère. Mais, le seul blocage reste le vote de la loi par l’Assemblée nationale.