la capitale sénégalaise abrite depuis ce matin les 7emes journées du chargeur africain et le séminaire sous régional de sensibilisation et de formation sur les Règles de Rotterdam. La cérémonie d’ouverture s’est tenue sous présidence de Oumar Guèye, ministre de la Pêche et de l’Economie maritime. « La règlementation internationale a toujours constitué un enjeu et une source de conflit entre les pays développés, pavillon des principaux armateurs qui dominent le transport maritime et, les pays en développement essentiellement chargeurs », a estimé le ministre qui rappelle que de 2005 à 2009, le Sénégal a participé à travers le conseil sénégalais des chargeurs, aux négociations relatives à la convention sur le contrat de transport internationale de marchandises effectué entièrement ou partiellement par mer.
Uniformiser les différentes règlementations
« La principale aspiration des Règles de Rotterdam est, selon la Conférence des Nations-Unies pour le Développement et le Commerce International (Cnudci), d’harmoniser et d’uniformiser les différentes règlementations applicables dans le transport maritime international », a pour sa part rappelé Abdoulaye Diop Directeur général du Conseil sénégalais des chargeurs (Cosec). « Nous sommes tous convaincus de l’importance des règles uniformes sur le contrat international de transport effectué entièrement ou partiellement par la mer », ajoutera-t-il.
Les chargeurs africains échangeront pendant trois jours à Dakar.
Uniformiser les différentes règlementations
« La principale aspiration des Règles de Rotterdam est, selon la Conférence des Nations-Unies pour le Développement et le Commerce International (Cnudci), d’harmoniser et d’uniformiser les différentes règlementations applicables dans le transport maritime international », a pour sa part rappelé Abdoulaye Diop Directeur général du Conseil sénégalais des chargeurs (Cosec). « Nous sommes tous convaincus de l’importance des règles uniformes sur le contrat international de transport effectué entièrement ou partiellement par la mer », ajoutera-t-il.
Les chargeurs africains échangeront pendant trois jours à Dakar.