SETAL.NET - Ousseynou Guèye du nom du chef de la brigade de recherches de la police de Mbour est sorti de prison. Avec l’intime conviction qu’il y a été emmené par ses collègues. Car pour Baye Fall, la fille qui l’accusait de viol a été manipulée par des policiers qui n’ont pas aimé qu’il se soit dressé contre eux dans des affaires sombres. « Je me suis bâti dans le sens de la protection des personnes et de leurs biens. Et puis voila, un jour des policiers, certains de mes collègues se sont ligués et ont aidé cette fille là à porter plainte contre moi pour des faits qui n’existent que dans l’imagination de la fille. Parce que je gênais des gens, une organisation mafieuse de policiers qui se sont engouffrés dans cette brèche-là », accuse-t-il.
Et d’enfoncer le clou : « ces policiers encaissaient des sommes importantes de dealers. parce que si vous parvenez à avoir 6,7 ou gens qui vous versent des centaines de mille par mois, ca fait de l’argent et ce sont ces gens qui étaient habitués à ca et je gênais ».
Revenant sur les relations qu’il entretenait avec la fille qui est à l’origine de son séjour carcéral à la Mac de Thies, Baye Fall révèle que lorsque Fatou Faty Diakhaté avait des besoins d’argent, elle venait le voir. « Moi aussi quand j’éprouvais le désir d’entretenir des relations sexuelles, je le lui disais ouvertement », avoue Ousseynou Guèye qui toutefois, balaie du revers de la main les accusations de viol, de séquestration et de sadisme. Contrairement à la plaignante qui soutient avoir sollicité les services de Baye Fall pour lui confectionner une nouvelle pièce d’identité, ce dernier affirme qu’elle était venue dans sa chambre pour lui réclamer de l’argent. Requête à laquelle il n’a pas donnée suite.
Cependant, le chef de la brigade de recherches de la police de Mbour reconnait qu’il a parfois un penchant pour le sexe auquel il est tenu de subvenir du fait que ses épouses sont toutes établies à l’Etranger. « J’assume ce que j’ai fait. Parce que je suis un homme et j’ai quelque part des sensations et mes femmes sont à l’étranger. Elles ne viennent au Sénégal que pour 45 jours. Donc, il arrive parfois que j’ai un penchant pour le sexe et je l’assume », bat-il sa coulpe dans un entretien avec l’Obs parcouru par Setal.net.
Et d’enfoncer le clou : « ces policiers encaissaient des sommes importantes de dealers. parce que si vous parvenez à avoir 6,7 ou gens qui vous versent des centaines de mille par mois, ca fait de l’argent et ce sont ces gens qui étaient habitués à ca et je gênais ».
Revenant sur les relations qu’il entretenait avec la fille qui est à l’origine de son séjour carcéral à la Mac de Thies, Baye Fall révèle que lorsque Fatou Faty Diakhaté avait des besoins d’argent, elle venait le voir. « Moi aussi quand j’éprouvais le désir d’entretenir des relations sexuelles, je le lui disais ouvertement », avoue Ousseynou Guèye qui toutefois, balaie du revers de la main les accusations de viol, de séquestration et de sadisme. Contrairement à la plaignante qui soutient avoir sollicité les services de Baye Fall pour lui confectionner une nouvelle pièce d’identité, ce dernier affirme qu’elle était venue dans sa chambre pour lui réclamer de l’argent. Requête à laquelle il n’a pas donnée suite.
Cependant, le chef de la brigade de recherches de la police de Mbour reconnait qu’il a parfois un penchant pour le sexe auquel il est tenu de subvenir du fait que ses épouses sont toutes établies à l’Etranger. « J’assume ce que j’ai fait. Parce que je suis un homme et j’ai quelque part des sensations et mes femmes sont à l’étranger. Elles ne viennent au Sénégal que pour 45 jours. Donc, il arrive parfois que j’ai un penchant pour le sexe et je l’assume », bat-il sa coulpe dans un entretien avec l’Obs parcouru par Setal.net.